Les Pussycat Dolls se reforment pour une tournée exceptionnelle ! Nicole Scherzinger a profité de l’annonce pour revenir sur les débuts du groupe. Sa boulimie et l’alcoolisme d’une autre membre étaient masqués par le succès…
En 7 ans d’existence (de 2003 à 2010), les Pussycat Dolls sont devenues un des girlsbands les plus vendeurs de la planète ! Il se reforme, au grand bonheur de millions de fans. Nicole Scherzinger a annoncé les dates d’une tournée événement, et est revenu sur les premières années d’existence du groupe, marquées par des combats contre la boulimie et l’alcoolisme.
Cette semaine, les Pussycat Dolls ont fait trembler la toile ! Le groupe, un temps soupçonné de cacher un réseau de prostitution, a annoncé sa reformation et dévoilé les dates d’une tournée événement, au Royaume-Uni.
Elle commencera le 5 avril 2020 à Dublin, en Irlande et s’achèvera le 17 avril à l’O2 Arena, à Londres. Nicole Scherzinger et ses acolytes retrouveront la scène ce samedi 1er décembre 2019, sur le plateau de la finale de l’émission The X Factor: Celebrity, dont la jolie brune est un des jurés.
Malheureusement, Melody Thornton, en mauvais termes avec ses ex-collègues, ne sera pas de la partie. « Ce n’est pas le bon moment« , a simplement expliqué la créatrice des Pussycat Dolls, Robin Antin, au podcast de Dan Wooton. Dans la même interview, Nicole Scherzinger est revenue sur les premières années du girlsband, au cours desquelles le succès masquait sa bataille contre la boulimie et celle de Jessica Sutta contre l’alcoolisme.
« Je l’ai cachée au monde, confie Nicole Scherzinger sur sa maladie. J’avais extrêmement honte. Affronter vos propres démons et complexes n’est pas quelque chose qu’on veut partager avec d’autres gens. » La bombe de 41 ans avait déjà évoqué cette période dans une interview au Cosmopolitan publiée en 2017. Elle révélait alors : « J’ai commencé à courir quand j’avais 14 ans. Je sortais en pleine nuit pour courir, parce que je pensais devoir être plus mince et que mes cuisses devraient être d’une certaine manière. Ça s’est amplifié quand j’ai intégré les Pussycat Dolls, parce qu’il y était très important d’exhiber son corps (…) Je n’ai jamais voulu l’avouer parce que j’avais honte. Mais une fois que j’en ai parlé, j’ai réalisé le nombre de personnes que ça a aidées. Ça m’a volé tout mon bonheur, ma confiance et mes souvenirs« .
Source: Lire L’Article Complet