Robert de Niro, Al Pacino, Joe Pesci… Outre son casting impressionnant, le dernier film de Martin Scorsese, diffusé le 27 novembre sur Netflix, serait son meilleur depuis longtemps pour une majorité de la critique. En grand cinéphile, Martin Scorsese a bien sûr puisé son inspiration dans d’autres œuvres du 7e art pour mettre en scène The Irishman, comme il l’expliquait lors d’une discussion avec Spike Lee à New York, rappelle TheFilmStage.
Et le cinéma français reste l’une de ses influences majeures : le réalisateur affirme ainsi avoir montré les films de Jean-Pierre Melville, Le Doulos et Le deuxième souffle, au directeur de la photographie Rodrigo Prieto. Autre référence pour définir le ton du long-métrage : Touchez pas au grisbi de Jean Becker. « Quand je filmais Robert de Niro dans Casino, j’avais l’impression qu’il prenait la carrure d’un Jean Gabin d’âge mûr. Il avait du pouvoir, mais aussi une sérénité et une coolitude. Gribsi a aussi un thème similaire », soulignait-il. Autres fictions de référence, plus internationales cette fois : Du rififi chez les hommes de Jules Dassin, Psychose d’Alfred Hitchcock ou encore Los Olvidados de Luis Buñuel. Côté littérature, Martin Scorsese mentionne Louis-Ferdinand Céline et son Voyage au bout de la nuit.
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