Patrick a-t-il basculé dans la quatrième dimension, une nuit, dans un hôtel d’Ibiza ? Le candidat des Z’amours ne peut en tout cas toujours pas expliquer avec exactitude comment il s’est retrouvé entièrement nu en dehors de sa chambre.

Bruno Guillon

Le public des Z’amours a eu droit à une anecdote aux frontières du réel ce jeudi 17 juin. Entre deux confidences croustillantes sur leur couple, un des candidats du jour a livré un récit des plus étranges. Patrick, en couple avec Isabelle, a tenté de se remémorer une nuit passée dans un hôtel à Ibiza, à travers des morceaux de souvenirs qu’il peine à recoller. « Cette fois-là, on peut dire que vous vous êtes donné en spectacle. C’était à quelle occasion ? », lui avait demandé Bruno Guillon. Le candidat a d’abord hésité à se lancer sur ce sujet : « Je ne sais pas trop si c’est racontable… », a-t-il glissé. Finalement convaincu par l’animateur, il a commencé avec un petit rappel : « Théoriquement, tout ce qui se passe à Ibiza reste à Ibiza. » Mais pas cette histoire, qu’il a accepté de raconter dans Les Z’amours. « On avait pris une chambre dans un hôtel. Et un soir, je ne sais pas ce qui m’est arrivé… », a-t-il commencé. Tenant Bruno Guillon et le public en haleine, Patrick s’est ensuite lancé dans un récit qui aurait pu avoir sa place dans un numéro des 30 histoires les plus mystérieuses.

Crise de somnambulisme, grosse fatigue ou paranormal ?

« Moi, je dors nu, a commencé par préciser Patrick. Je ne sais pas si j’ai eu une crise de somnambulisme… Je pense que j’avais eu envie d’aller aux WC, mais je me suis trompé de porte et je suis sorti de la chambre. J’ai claqué la porte et je me suis retrouvé dans le couloir. » Nu comme un ver dans l’hôtel, sans possibilité de rouvrir la porte, le candidat des Z’amours était désemparé. « Le seul souvenir que j’ai de ce couloir, c’est de frapper à la porte pour re-rentrer, mais… c’est un homme qui m’a ouvert. Pas ma femme », a-t-il raconté. Une scène Lynchienne qui reste dans sa mémoire, contrairement au reste.

« J’ai fait demi-tour, je pense, a repris Patrick. J’ai dû frapper à d’autres portes le temps de retrouver ma chambre. Là, ma femme m’a ouvert en se demandant ce qui se passait. Je me suis recouché et le lendemain en repensant à ça, je me suis dit : “Je pense que j’ai dû frapper à beaucoup de portes…” » Lui et et son épouse étaient heureusement sur le départ : « On a fait les valises vite fait, on a longé les murs du couloir et on est partis », a-t-il conclu. Le candidat n’est pas certain d’avoir fait une crise de somnambulisme : il n’a plus jamais vécu une chose pareille par la suite. Aujourd’hui, lui et sa femme ne savent « toujours pas » ce qui s’est passé…

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