Laurence Favalelli s’est occupée de l’image de Laeticia Hallyday durant trois années. Aujourd’hui elle décide de sortir un livre « Laeticia H. » aux éditions Michel Lafon. En voici quelques extraits fracassants que nos confrères du magazine ELLE ont dévoilés.
Laurence Favalelli est l’ex-agente artistique de l’épouse de Johnny Hallyday. Elle a décidé de publier aux éditions Michel Lafon un livre, « Laeticia H. ». Un titre évocateur qui nous plonge immédiatement dans le vif du sujet. C’est via Sébastien Farran que Laurence est entrée en contact avec la famille Hallyday en 2012. À l’époque elle devient l’agente artistique de Laeticia Hallyday. Cet emploi comprend plusieurs tâches et responsabilités notamment de la gestion et la promotion de la vie publique du couple. Au fil des pages on constate qu’elle a été prise au piège d’un tourbillon, celui de la vie du Taulier où tout est démesuré et sort un peu de la réalité. Elle parle forcément d’argent, de célébrité mais aussi de solitude.
On en apprend beaucoup sur Laeticia, un personnage à double facette. Une femme généreuse et dévouée mais à la fois autoritaire et obsédée par l’image qu’elle renvoie. L’ouvrage est un portrait de la jolie blonde, l’histoire de celle qui a tout fait pour trouver sa place dans la société puis au sein du clan Hallyday, une place difficile à obtenir puis à garder.
Nos confrères du magazine ELLE nous offre, en exclusivité, quelques passages du livre entre vérités et tristesse : « Le film se finissait, la télévision bourdonnait dans mes oreilles, je m’endormais sur le canapé quand mon téléphone portable a sonné. Hélène Darroze. Trois mots. « C’est fini. » Elle a raccroché. Tel un automate, j’ai reposé le téléphone sur le canapé, Ikel, mon compagnon, qui s’apprêtait à aller se coucher, est revenu sur ses pas pour me serrer longuement contre lui, j’ai pris le pull gris que j’avais enlevé et posé sur la chaise, je l’ai remis, j’ai enfilé ma veste, j’ai cherché les clés de la voiture, je suis allée réveiller ma mère qui était déjà au lit : « Il vient de mourir. » Et j’ai envoyé un message à Hélène à 22 h 34 : « Je pars maintenant. » […] Laeticia est allongée sur le canapé et Hélène, tout contre elle, lui tient les mains. Elle pleure, fort, la poitrine saccadée, répète : « Ce n’est pas possible. » Face à eux, sur un autre canapé, Françoise, la mère de Laeticia, Jean-François Piège, le chef étoilé, et sa femme Élodie, grands amis des Hallyday, sont assis, médusés. »
Puis le récit se poursuit : « Derrière nous, de l’autre côté du vestibule, il y a le bureau où est installé Johnny depuis sa dernière hospitalisation. En entrant, je suis passée devant, j’ai vu que la porte était fermée. Impossible à présent de me retourner. Je ne veux rien voir tant j’ai pns mon dos : « Mais donne-moi mon téléphone ! » […] Ils ont pris le téléphone de la grand-mère pour être sûrs qu’elle n’envoie aucun message comme elle le fait toujours, qu’il n’y ait aucune fuite. Johnny Hallyday vient de mourir et la France ne le sait pas, pas encore. »
On apprend que Mamie Rock avait la fâcheuse manie de prévenir « le commun des mortels » de tout ce qui se passait au sein du clan Hallyday. Pas très fiable mamie… D’autres passages du livre mettent en lumière des moments, des choses que personne (ou très peu) ne savaient. Laurence Favalelli évoque David et Laura mais également les séances shopping de Laeticia dont les prix explosent souvent. Ce nouvel ouvrage intervient quelques jours seulement avant l’hommage à Johnny Hallyday organisé par Laeticia à l’Olympia. Reste à savoir comment la maman de Jade et Joy compte gérer tout cela.
Constance Therapy
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