Mardi 25 mai, Vianney avait rendez-vous en terre inconnue en Ethiopie avec Raphaël de Casabianca. Un voyage émouvant qui a été diffusé sur France 2, et qui a inspiré un titre au chanteur.
Un voyage inspirant pour Vianney. Mardi 25 mai, France 2 dévoilait le voyage effectué par le chanteur dans Rendez-vous en terre inconnue avec Raphaël de Casabianca. Cette fois-ci, cap sur l’Ethiopie chez les nomades Afar, où l’artiste a écrit une chanson durant les très chaudes journées de tournage où les équipes ont décidé de ne pas sortir la caméra. Et il s’agit de Dabali, "fruit de [son] voyage renversant en Terre Inconnue", comme il l’a expliqué en dévoilant le clip de la chanson, qui a été réalisé par Pierre Stine qui a capté de nombreuses images de ce périple. L’occasion également pour lui de faire une petite mise au point côté lexique.
"Vous êtes nombreux à me demander d’où viennent les mots Afars du refrain de Dabali. Il s’agit de phrases que m’avait écrites notre traducteur Momo sur un bout de papier pendant le séjour, apparemment tirées d’une merveilleuse chanson de Nasser Saoudi", a ainsi expliqué Vianney, qui est allé en Ethiopie avec sa guitare. Ce qui a été très observé par les nomades Afar, qui n’avaient jamais vu un tel instrument. "Ils n’ont pas d’instruments et n’avaient jamais vu de guitare. La première fois que j’ai joué, ils étaient fascinés. D’être loin de tout et d’avoir du temps a donné vie à l’écriture de nouvelles chansons. J’en ai composé une, avec des prénoms de femmes du village et quelques mots de leur vocabulaire, que je leur ai chantée le jour du départ", avait ainsi expliqué le chanteur à TV Mag.
C’est donc lors des chaudes journées où le tournage a été interrompu à cause des fortes températures que Vianney a trouvé l’occasion et l’inspiration d’écrire Dabali, et ce pour le plus grand bonheur de ses fans. Un bel hommage notamment à ces nomades qui l’ont accueilli, lui et Raphaël de Casabianca, comme une petite parenthèse bien loin de la pandémie mondiale. "On s’est retrouvés dans un monde où la Covid n’existait pas, le village le plus proche étant à trois jours de dromadaire. Cela nous a paru extrêmement étrange lorsque nous sommes arrivés. Pas de masques, pas de conscience que nous traversons une épidémie mondiale. Ce sentiment de liberté était grisant", a ainsi confié l’animateur à Télé Star.
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