Dans un entretien accordé à Éric Dussart, qui sera diffusé sur RTL ce samedi 8 mai, Laurent Ruquier s’est livré sur le conflit qui l’oppose à son ancienne productrice Catherine Barma.
A propos de
Laurent Ruquier
Catherine Barma
Le torchon brûle encore entre Laurent Ruquier et Catherine Barma. L’ancien présentateur de l’émission On n’est pas couché ne décolère pas contre son ex-productrice. Et pour cause, un litige financier les oppose. C’est, en tout cas, ce que l’animateur de France 2 a laissé entendre à Éric Dussart, sur les ondes de RTL, dans un entretien qui sera diffusé ce samedi 8 mai. “Je n’ai pas revu Catherine Barma depuis mars 2020, j’ai quand même fait des émissions tout seul, enfin avec des gens de l’équipe, mais sans la productrice sur le plateau, sans jamais la revoir”, a-t-il indiqué, comme le rapporte Télé-Loisirs, ce vendredi 7 mai. Avant de préciser : “Et pour l’instant l’argent qui a été versé par France 2 a été versé à la société de Catherine Barma, mais il n’y a rien qui me soit revenu !”
De par ces confidences, Laurent Ruquier réclame-t-il de l’argent à Catherine Barma ? “C’est peut-être pour ça qu’elle ne se manifeste pas auprès de vous ?” surenchérit Éric Dussart, qui semble surpris. Ce à quoi son invité a dégainé les menaces. “Je ne sais pas, mais, en revanche, elle a quand même une nouvelle émission qu’elle produit sur France Télévisions, il va falloir que j’en parle à France Télé”, a-t-il affirmé, d’un ton sec. Le compagnon du comédien Benoît Petitjean et son ancienne productrice n’ont, en effet, plus aucun lien. “Les avocats se parlent, évidemment, mais nous on n’est pas en contact l’un et l’autre. Je lui ai envoyé une longue lettre, bien explicite, mais elle ne m’a pas répondu directement…”, a ajouté ce dernier, toujours au micro de RTL.
“Ça fait partie des absurdités du métier”
Pour autant, Laurent Ruquier a assuré “ne pas être fâché” avec celle qui lui a “apporté beaucoup”. “C’est elle qui a disparu du jour au lendemain, n’acceptant pas le fait qu’après 20 ans de bons et loyaux services, j’ai envie de changer un peu d’air…”, a-t-il regretté, au cours de cette même interview. D’ailleurs, si les anciens collaborateurs venaient à se croiser dans la rue, la figure emblématique des Grosses Têtes ne daignerait l’éviter. “C’est elle qui changerait de trottoir, ce n’est pas moi!”, s’est-il épanché. À son grand désespoir, d’ailleurs. D’après lui, “ça fait partie des absurdités de ce métier, c’est tellement bizarre du jour au lendemain de ne plus se parler, de ne pas avoir un mot d’explication, même un petit merci ou un petit au revoir, même si on n’est pas d’accord sur la façon de voir l’avenir l’un et l’autre”.
Article écrit avec la collaboration de l’agence 6Medias
Crédits photos : RACHID BELLAK / BESTIMAGE
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