Mercredi 24 mars 2021, Frédéric Mitterrand a profité de son passage sur BFMTV pour revenir sur sa récente hospitalisation après avoir contracté le Covid-19. L’ancien ministre de la Culture y a révélé ce qu’il avait demandé expressément aux docteurs qui s’occupaient de lui…

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Frédéric Mitterrand a fait une belle frayeur à son entourage jeudi 14 janvier 2021. L’homme politique de 73 ans a été admis en urgence dans un hôpital parisien.Il avait contracté la Covid-19 il y a 10 jours à l’occasion d’un rassemblement familial restreint lors des fêtes de Noël. Son état de santé, bien que stable, reste sensible pour les jours à venir », avait fait savoir sa famille dans un communiqué de presse diffusé par l’AFP. Deux mois après cette hospitalisation qui a duré 17 jours, Frédéric Mitterrand va beaucoup mieux. Le neveu de François Mitterrand était d’ailleurs sur le plateau de BFMTV mercredi 24 mars 2021. « Toute la vie change et devient concentrée sur ce combat quand on se retrouve dans cette situation », a-t-il confié. Frédéric Mittérand a eu beaucoup de chance dans son malheur : son état est en effet resté stable jusqu’au bout. Mais l’homme politique avait toutefois transmis une consigne spéciale aux équipes, à appliquer si les choses finissaient pas s’aggraver : « Je ne voulais pas me faire intuber », a-t-il expliqué. « J’ai dit au médecin ‘Je préfère mourir que d’être intubé’ parce que je ne voulais pas partir dans le coma sans savoir si j’allais revenir. Je voulais être lucide jusqu’au bout ».

Frédéric Mitterrand prend la défense de Roselyne Bachelot

Frédéric Mitterrand a également pris le temps d’évoquer Roselyne Bachelot, actuellement hospitalisée après avoir contracté le Covid-19. Sous « surveillance », elle a été admise à l’hôpital pour « qu’elle accepte de lever le pied quelques jours », selon son entourage qui s’est confié à France Télévisions mercredi 24 mars 2021. Frédéric Mitterand, qui a occupé son poste du 23 juin 2009 au 16 mai 2012 dans le gouvernement Fillon II, a tenu à prendre la défense de sa consœur, attaquée par de nombreux acteurs, réalisateurs et artistes depuis le début de son mandat en pleine crise sanitaire.

« Cette femme se donne un mal de chien pour essayer de défendre la Culture », a-t-il assuré. « Ce matin par exemple, sur France Musique, un sénateur a tapé sur la politique de Roselyne Bachelot sans que personne en face n’indique qu’il disait des contre-vérités et des bêtises », a-t-il tenu à faire savoir aux téléspectateurs avant de déplorer l’habitude de certains Français, qui attaquent « des gens qui sont en première ligne ».

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