Seulement quelques mois après sa rupture avec François Hollande, Valérie Trierweiler publiait le livre Merci pour ce moment, dans lequel elle revenait en détails sur leur relation. Un passage en particulier de cet ouvrage explosif avait mis hors de lui François Hollande, qui avait à l’époque tenu à démentir fermement.

A propos de

  1. Valérie Trierweiler

  2. François Hollande

C’est dans le plus grand des secrets que Valérie Trierweiler avait écrit Merci pour ce moment, son livre sorti quelques mois après son départ de l’Elysée. Un ouvrage dans lequel elle détaillait les années passées avec François Hollande, de leur rencontre à leur rupture ultra-médiatisée. Dans un épisode de Petites phrases, grandes conséquences diffusé sur La Chaîne parlementaire le 15 février, des spécialistes ou anciens collaborateurs de François Hollande sont revenus sur un passage en particulier de ce livre explosif. « Il s’est présenté comme l’homme qui n’aime pas les riches. En réalité, le président n’aime pas les pauvres. Lui, l’homme de gauche, dit en privé : ‘les sans-dents’, très fier de son trait d’humour« , avait écrit Valérie Trierweiler.

Des révélations qui ont beaucoup heurté l’ancien président de la République, et qui ne laissent aucun doute sur les intentions de Valérie Trierweiler, pour l’ancienne ministre Marylise Lebranchu. « C’est une phrase qui a été redite par volonté de nuire donc mise en scène pour qu’elle atterrisse sur des banderoles« , a-t-elle déclaré. Des propos corroborés par Bernard Poignant, ancien conseiller spécial de François Hollande. « En écrivant, je pense qu’elle savait ce qu’elle faisait. L’auteure du livre est aussi journaliste« , a-t-il souligné. Suite à ces révélations, le séisme fut incontrôlable pour l’ex-président de la République.

« C’est un mensonge qui me blesse »

Pourtant peu enclin à s’exprimer sur sa vie privée, surtout lorsqu’il se trouvait aux plus hautes fonctions de l’Etat, François Hollande avait tenu à éteindre l’incendie. Lors d’un sommet international, l’ex-chef d’Etat avait tranché : « Je n’accepterai jamais, et je dis bien jamais, que puisse être mis en cause ce qui est l’engagement de toute ma vie« . Dans les colonnes de L’Obs, le compagnon de Julie Gayet avait également mis les choses au clair. « Cette attaque sur les pauvres, les démunis, je l’ai vécue comme un coup porté à ma vie tout entière […]. Je ne veux pas qu’on puisse dire ou écrire que je me moque de la douleur sociale, car c’est un mensonge qui me blesse« , avait-il confié.

Crédits photos : Capture d’écran La Chaîne parlementaire

Autour de

Source: Lire L’Article Complet