Sur TF1, ils ont longtemps été les stars de l’info, lui en semaine, elle le week-end. Mais Claire Chazal et PPDA ont partagé bien plus que l’antenne… De leur liaison est née un enfant, dont on ne sait que très peu.

Si Claire Chazal a récemment fait savoir dans les colonnes de Gala qu’elle avait désormais « plus envie d’amitié que d’amour », la journaliste de 64 ans a eu une vie amoureuse plutôt chargée par le passé. Elle qui déplore : « La passion peut détruire. Il faut le supporter » fut un temps en couple avec l’acteur Philippe Torreton, et le mannequin Arnaud Lemaire. 

François a aujourd’hui 25 ans

Du temps de sa gloire sur TF1, elle a également partagé la vie de son confrère au JT de 20h, Patrick-Poivre d’Arvor. Pendant plusieurs années, celui qui présentait le journal la semaine, et celle qui prenait le relais le week-end ont eu une liaison. C’est comme cela que leur François est né, le 29 avril 1995.

Dans son livre, « Puisque tout passe », Claire Chazal assure qu’il était très désiré, même si son idylle avec le papa est restée très privée. Après ses quarante ans, elle explique avoir eu « comme un flot irrépressible, le désir d’un enfant, d’un enfant de cet homme-là (PPDA, ndlr) qui lui transmettrait sa force et le rendrait invincible. Et d’ajouter : « cet enfant unique a gommé toute envie d’un autre enfant ».

Et puisqu’il est le seul, François est très protégé par ses parents… Il faut dire que le jeune homme (aujourd’hui âge de 25 ans) « n’a pas eu un rapport très facile avec la notoriété » comme l’a rapporté sa maman à Paris Match en 2018. Pour son papa, plus franc « François a toujours détesté l’hyper exposition de ses parents ».

Après un tour du monde, il vit à Paris

C’est pourquoi, expliquait-il à VSD en 2016, « II a voulu couper le cordon et il l’a fait en partant très loin. D’abord en Nouvelle-Zélande, puis à Londres et désormais à Hong-Kong. Il s’est retiré de la lumière, complètement. Il n’a jamais accepté d’être photographié ou de répondre à des interviews et je peux comprendre ça ». Le but : « être jugé sur ce qu’il est vraiment, pas sur son nom » confie PPDA.

Toujours anonyme après ses études (master en philosophie à la Sorbonne), François a finalement posé ses bagages dans un quartier animé à Paris. A ce jour, nul ne sait la carrière que ce « fils de » discret s’est choisi…

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