Barack Obama a publié le premier tome de ses mémoires. Pour l’occasion, il a donné une interview à Paris Match dans laquelle il a fait des confidences touchantes sur sa vie privée.

À l’occasion de la publication de ses Mémoires, Une terre promise, l’ancien président a accordé un entretien exclusif à Paris Match. Barack Obama revient sur sa campagne et ses deux premières années de présidence. « Je suis ce que je suis grâce aux femmes qui font partie de ma vie », a-t-il débuté. Parmi les femmes qui ont compté de sa vie, on retrouve sa maman mais aussi Michelle Obama, son épouse depuis 28 ans. Cette dernière a toujours été un précieux soutien. Au début de la campagne, Michelle Obama lui a d’ailleurs imposé deux conditions. Elle souhaitait que son époux arrête de fumer et passe plus de temps avec ses filles, Malia et Sacha. Ce que l’ancien président des Etats-Unis a fait…

Dans cet entretien accordé à Paris Match, il a d’ailleurs livré quelques détails intimes. « Je vivais en quelque sorte « au-dessus du magasin ». Je pouvais donc dîner en famille tous les soirs à 18h30, même si je devais ensuite retourner travailler. Pour autant, y a-t-il eu des moments où j’ai été en proie aux doutes ? Où j’ai été découragé ? Bien sûr. Y a-t-il eu des tensions au sein de notre famille ? Oui. Malheureusement », a-t-il confié.

Elle lui reprochait certains sacrifices

Si ce couple faisait rêver les Américains, leur mariage a été fragilisé par le pouvoir. Barack Obama a notamment révélé avoir ressenti de la « solitude ». « Il y avait des nuits où, allongé à côté de Michelle dans le noir, je pensais à ces jours où tout était plus simple entre nous », a-t-il expliqué dans People, voulant retrouver celle qui était plus « souriante ». Michelle Obama, même si elle « croyait beaucoup au travail » de son mari, lui reprochait certains « sacrifices faits à leur famille » pour le bien de ses fonctions de président. L’ancienne First Lady a également eu du mal à gérer « la pression » et « le stress » . « Il y a eu des moments où je pense qu’elle était frustrée, triste ou en colère, mais je savais que j’avais l’Afghanistan ou la crise financière à gérer au lieu de m’en préoccuper », a-t-il conclu.

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