Innovants et socialement responsables, les jardins de l’Ourika inaugurés par Yves Saint Laurent Beauté en mai 2019 au Maroc entament un processus de certification biologique. Zoom sur ce spot, véritable source d’inspiration pour la création de maquillages et de soins.
En 2019 Yves Saint Laurent Beauté inaugurait l’incroyable jardin de l’Ourika au Maroc, le pays du soleil couchant où le créateur Yves Saint Laurent trouvait l'inspiration pour ses créations. Il aura fallu quatre ans et l’aide de paysagistes, d’experts scientifiques et agronomiques pour concevoir ce lieu où se dressent des milliers de roses, citronniers, iris… Soit, un parterre de 40 espèces botaniques regroupées en un seul et même lieu, pour le plaisir des yeux et de l’odorat. L’espace idéal pour cultiver les plantes et les fleurs indispensables à la formulation des soins et maquillages de la marque. "Dans ces jardins, on retrouve les plantes chères à Yves Saint Laurent, des ingrédients indispensables à la fabrication de certains produits de la marque mais aussi d’autres plantes telles que le jasmin, le géranium rosat ou encore la verveine, car les Jardins de l’Ourika n’ont pas vocation à être contemplatoires mais bel et bien exploratoires" affirment Éric Ossart et Arnaud Maurières, les deux paysagistes du jardin.
Aujourd'hui, la marque souhaite aller plus loin. Un processus de certification biologique a été entamé, après avoir cultivé pendant plusieurs années le précieux safran, la feuille de noyer ou encore la fleur de calendula de manière durable et biologique. L'objectif ? Pouvoir intégrer au moins un ingrédient issu des jardins Yves Saint Laurent dans 100% des nouvelles créations de soins et de maquillage, et même de quelques parfums à l'horizon 2023.
© Nadim ASFAR
Yves Saint Laurent Beauté innove et adopte une démarche socialement responsable
Au-delà d’un espace innovant entièrement dédié à la recherche botanique, Yves Saint Laurent Beauté a choisi de soutenir le savoir-faire ancestral et artisanal des Marocaines en développant un programme social qui promeut les compétences des femmes de la région et l’amélioration de leur niveau de vie. Dans cette dynamique socialement responsable, la marque a initié, en 2015, la création d’une coopérative de 32 femmes pour s’occuper de chaque plante. "Je suis particulièrement fière de l’enthousiasme que suscite ce projet dans la région et auprès des femmes. Depuis la création de cette coopérative, quatre autres ont vu le jour. Les revenus générés par les récoltes de soucis, d’olives, ont permis aux mères de pouvoir envoyer leurs filles à l’école" se réjouit Amina El Hajjami, Directrice de projets à la High Atlas Foundation.
Quelques photos du jardin de l'Ourika au Maroc
© NADIM ASFAR
© Nadim ASFAR
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