Selon le vice-président des produits de Netflix, le « Toudoum » a failli être un bêlement de chèvre.
Les abonnés Netflix connaissent le « Toudoum » significatif dès qu’ils lancent un programme sur la plateforme de visionnage en streaming. Au cours d’une interview accordée pour le podcast Twenty Thousand Hertz, Todd Yellin, le vice-président des produits de l’entreprise, a confié que cet effet sonore aurait pu être bien différent. En effet, le bêlement d’une chèvre aurait été envisagé. « J’aimais le son de la chèvre. C’était marrant, bizarre et un peu notre version du lion de la MGM. Alors pendant un moment, on est resté bloqué sur ce bêlement de chèvre. » explique ce dernier. Cependant, aucune chèvre n’a été emmenée au studio d’enregistrement. Par ailleurs, pour créer le fameux « Toudoum« , Lon Bender, oscarisé en 1996 pour Braveheart, aurait frappé son alliance contre le chevet. Par la suite, il aurait associé ce son à un bruit de guitare joué à l’envers baptisé The Blossom.
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Ce mercredi, on apprenait que le groupe de Reed Hastings n’avait payé que 564,174 euros de charge d’impôts sur son bénéfice en 2019 en France. Netflix disposerait ainsi de trois filiales françaises qui ne s’occuperaient seulement que du marketing et de la production dans l’hexagone. C’est une société basée aux Pays-Bas qui prendrait en charge ainsi des abonnements français. L’entreprise utilise ainsi plusieurs techniques d’optimisation fiscale afin de réduire ses frais. C’est aux Etats-Unis que le groupe rapatrie un maximum de ses bénéfices, pays où il bénéficie de « généreux allègements d’impôts« .
V-K. N.
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