Le prince William était confiné dans son manoir d’Anmer Hall avec Kate Middleton et leurs trois enfants, George, Charlotte et Louis. Si tout s’est en majorité bien passé, une tâche a été plus compliquée que les autres à réaliser pour lui.
William d’Angleterre
Kate Middleton
Le confinement, triste conséquence de la crise du coronavirus, a été une épreuve simple pour les uns, compliquée pour les autres. Si Kate Middleton et le prince William ont eu la chance de pouvoir passer ses longues semaines d’isolation dans leur manoir grandiose de la campagne anglaise, à Anmer Hall, ils n’en ont pas été moins éprouvés que tous les parents du monde à ce moment-là. Les établissements scolaires fermés, les papas et mamans avaient pour mission de jouer les maîtres et maîtresses d’école pendant toute la longueur du confinement. Et ce n’était pas de tout repos pour tout le monde. Le prince William est bien placé pour le savoir.
Patience zéro
Très impliqués dans l’éducation de George, Charlotte et Louis, Kate Middleton et William mettent un point d’honneur à ce que leurs trois têtes blondes soient assidues avec leurs devoirs. Mais faire l’école à la maison a été plus « éprouvant » que prévu pour le duc de Cambridge. C’est à l’occasion d’un entretien pour la BBC Radio 5 Live, dont le Daily Mail livre des extraits, que le frère du prince Harry s’est confié sur ce quotidien particulier qu’il a vécu en tant que papa. Et à 38 ans, le fils du prince Charles et de Diana Spencer en a appris une bien belle sur lui : « J’ai appris grâce à l’école à la maison que ma patience est beaucoup plus courte que je ne le pensais, c’est probablement la plus grande révélation pour moi ». Il a, au passage, salué la grande qualité qu’il a découverte chez son épouse Kate Middleton : « Ma femme a une super patience ». La duchesse n’a pas montré que des forces dans la maîtrise de ses nerfs. Elle a également prouvé que les matières scientifiques, c’était plutôt sa tasse de thé contrairement à William : « Je dois admettre que je suis un peu gêné par mes connaissances en mathématiques, je ne peux pas faire de maths de deuxième année ». Heureusement pour lui : quand on aime, on ne compte pas…
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