ARCHIVE. Héros de « Demain nous appartient », Clément Rémiens livre une interprétation sans faille dans cette série rediffusée ce soir sur TF1 Séries Films. Nous avions rencontré l’acteur lors du lancement…
Vous incarnez un jeune en quête de vérité, qui a eu un étrange accident de voiture avec sa meilleure amie, jouée par Eden Ducourant. Quelle a été votre première impression en lisant le scénario ?
Clément Rémiens : J’ai été bouleversé par l’histoire de ces deux jeunes dont la vie bascule en une fraction de seconde. Cédric, mon personnage, était promis à un bel avenir dans le milieu du kitesurf et il croquait la vie à pleines dents, comme Sarah. Amnésique suite à l’accident, il va tenter de résoudre un puzzle, tout en se cherchant lui-même. Mais, derrière l’enquête policière menée par Aure Atika, il y a un drame familial.
Jeune comédien de 22 ans, vous êtes-vous bien entendu avec le reste du casting, particulièrement chevronné, emmené par François-Xavier Demaison ?
Je vous avoue que la plupart de mes amis n’ont pas mon âge. Un jour, Thomas Jouannet m’a d’ailleurs lancé : « Mais toi, tu as 40 ans, en fait ! » On a bien rigolé. Il était mon père à l’écran et un bon pote en dehors.
Sur le tournage, tout le monde louait votre implication. Avez-vous eu du mal à quitter l’équipe et votre personnage ?
Oui, surtout que c’était la première fois que j’assistais à une fin de tournage. J’étais frustré que cela ne dure pas plus longtemps. Et ce personnage me suit. La preuve, je faisais encore du kitesurf ce matin. J’ai un peu l’impression de lui rendre hommage en continuant ce sport.
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Il y a un an, vous me parliez de votre envie de mettre votre passion du sport au service d’un rôle. Vous devez être comblé !
J’ai vraiment réalisé mon rêve. Et c’était excitant d’apprendre le kitesurf. Si cela n’avait tenu qu’à moi, j’aurais aussi fait les cascades ! (Rires)
Vous avez mené de front les tournages de Pour Sarah et Demain nous appartient. Comment avez-vous réussi cet exploit ?
Quand je m’amuse, je donne le meilleur de moi-même. Et c’était le cas pour ces deux projets. Parfois, j’enchaînais cinq jours de tournage de nuit pour cette série, puis une journée pour Demain nous appartient. Heureusement il n’y a que 40 minutes de transport entre Narbonne et Sète. J’avoue qu’une fois, lors d’une prise pour la quotidienne de TF1, j’ai lancé à ma partenaire, Ingrid Chauvin (sa mère de fiction, ndlr) : « Tu as des nouvelles de Sarah ?« , au lieu de parler d’un autre personnage ! (Rires)
Pour Sarah, est à suivre ce lundi 13 juillet à 21h05 sur TF1 Séries Films
Interview Alexandre Alfonsi
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