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En conserve, les sardines n’ont que des atouts pour notre santé. Alors, on ne les laisse pas au placard.

Elles nous font de bons (vieux) os

Le calcium se trouve dans les arêtes, suffisamment tendres et friables pour être consommées, et dans la peau. Dans 100 g de sardines en boîte, il y a environ 400 mg de calcium, soit un bon tiers de nos besoins journaliers après la ménopause, pour compléter les apports des produits laitiers. Elles contiennent aussi du phosphore et un peu de vitamine D (environ 10 µg/100 g) : le trio gagnant pour assurer la solidité osseuse.

De tout cœur avec notre cœur

Elles regorgent d’oméga-3 EPA et DHA (aucun autre aliment n’en recèle autant que les poissons gras), avec presque 1 g pour 100 g, soit 70 % des apports journaliers recommandés. Or, ces derniers agissent comme un bouclier cardio-vasculaire : ils participent à baisse de la tension artérielle, du risque d’athérosclérose, etc.

Elles musclent notre cerveau

Des études ont démontré que les personnes consommant en belle quantité des poisson gras tels que sardines présentent moins de risque de dépression ou d’être atteints d’Alzheimer. Le risque de lésions cérébrales diminue de 13 % chez les plus de 65 ans qui en mangent une fois par semaine. Cela s’explique essentiellement par leur richesse en oméga-3. Nécessaires à la constitution des cellules cérébrales, ceux-ci permettent aussi de meilleurs échanges entre les neurones pour réguler l’équilibre émotionnel.

Elles nourrissent nos muscles

Il n’y a pas que la viande pour faire le plein de protéines : les sardines en apportent 25 g/100 g de poisson, soit environ un tiers de nos besoins (60 à 80 g/jour selon son poids). Avec en plus de la vitamine B12, impliquée dans la synthèse des protéines, et donc dans la masse musculaire.

Elles nous donnent la pêche

Les sardines en conserve affichent un taux de fer non négligeable, autour de 3 mg/100 g. C’est moins qu’une côte de bœuf, mais loin d’être négligeable si on ne raffole pas de la viande rouge pour limiter la fatigue et mieux résister aux infections. D’autant qu’il s’agit en grande partie de fer héminique, le mieux assimilé par l’organisme.

Faites confiance aux petits !

Les poissons absorbent dans leurs graisses les métaux lourds rejetés dans les océans comme le plomb ou le mercure, qui pourraient favoriser notamment certaines maladies neurologiques. Comparés au thon ou au saumon, qui se trouvent en bout de chaîne alimentaire (ils mangent les autres), les petites espèces telles que les sardines ou les maquereaux sont moins contaminées. On peut en manger une portion par semaine (une boîte de 100 à 120 g de sardines/personne), et une fois par mois seulement pour le thon ou le saumon.

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