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Vous hésitez encore à sauter le pas et à vous débarbouiller avec des cotons lavables ? Voici trois bonnes raisons d’oublier les rondelles jetables.
Ils sont tout doux pour la planète
Une femme utiliserait en moyenne 6 cotons par jour pour se démaquiller et prendre soin de son visage, soit 2 190 cotons par an qui finissent à la poubelle, selon le magazine Consoglobe. Un réel désastre écologique lorsque l’on sait que, selon WWF, il faut en moyenne 8 506 litres d’eau pour produire 1 kg de coton aujourd’hui dans le monde (en Inde, le chiffre s’élève à 20 217 litres). S’ajoutent les pesticides – 10 % de leur consommation mondiale est attribuée à la production de coton – ainsi que le chlore et autres produits chimiques qui servent au blanchiment… Cerise sur le gâteau : l’emballage plastique à usage unique.
À l’inverse, les disques (tampons, carrés…) lavables limitent au maximum pollution et déchets puisqu’ils sont réutilisables jusqu’à leur usure totale ! En coton bio, en bambou, en fibre d’eucalyptus ou en chanvre, on a l’embarras du choix et des labels pour nous guider : Oeko-Tex garantit des matières sans substances nocives pour la peau et l’environnement ; les cotons bio certifiés GOTS bannissent OGM et produits chimiques tout en assurant traçabilité, gestion raisonnée de l’eau, respect des conditions des travailleurs…
Ils n’agressent pas notre porte-monnaie
Faisons les comptes : un paquet de cotons jetables coûte de 0,60 à 2 euros selon les marques. 2 190 cotons jetables par an, c’est environ 22 paquets utilisés, soit un budget annuel de 13 à 44 euros. Leurs homologues lavables reviennent quant à eux, en moyenne, autour de 10 euros la dizaine (le prix varie en fonction de la matière, de la taille, s’ils sont double face ou non…) et ils vous dureront plus d’un an. Enfin, vous en utiliserez moins au quotidien : ils sont souvent plus larges, plus absorbants et nettoient mieux. Bref, s’ils demandent un investissement un peu plus élevé au départ, votre porte-monnaie devrait très vite s’y retrouver.
Ils chouchoutent notre peau
On choisit la matière qui nous convient le mieux. Avec une peau à imperfections, on privilégie le coton, qui permet un nettoyage en profondeur avec tout type de démaquillants (lait, huile, eau micellaire)… Attention, il peut parfois se révéler un peu rude pour les peaux sensibles. Si on se démaquille au lait ou à l’huile, on mise sur le bambou et le chanvre : ils ont l’avantage d’être absorbants et moins agressifs que le coton. Mais on évite de les utiliser avec de l’eau micellaire si l’on ne veut pas vider son flacon à la vitesse grand V ! L’eucalyptus est le plus adapté aux peaux sensibles : c’est la matière la plus douce. En outre, peu absorbante, elle convient très bien aux eaux micellaires et aux hydrolats. Enfin, préférez les disques double face : un côté « effet peeling » pour désincruster en profondeur et un côté plus moelleux pour les zones plus sensibles comme le contour des yeux. C’est le combo parfait !
Faciles à utiliser
Il suffit juste de prendre le pli et d’installer sa petite routine. D’abord, prévoyez une quantité suffisante pour avoir un bon roulement et toujours disposer de disques propres. Installez dans votre salle de bains un petit panier pour les disques utilisés ou mettez-les directement dans le panier à linge sale. Enfin, quand vous faites une machine, ajoutez-les en vrac ou dans un filet de lavage. Nettoyez-les plutôt à 40 °C, voire plus s’ils sont très sales. Un passage au sèche-linge peut leur éviter de devenir un peu rêches au fil des lavages.
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