Depuis le début du confinement, un point semble-t-il anodin manque cruellement à Daphné Bürki. L’animatrice de France 2 se confie sur la manière dont elle a vécu cette période si étrange et sur le manque de contact physique.
Daphné Bürki reprend du service. Depuis le 11 mai dernier, l’animatrice de France 2 a retrouvé le chemin des studios de télévision pour l’animation de Je t’aime etc. Si les conditions de tournages sont contraignantes du fait de la crise sanitaire, Daphné Bürki s’en accommode sans sourciller. Elle ne cache d’ailleurs pas sa joie de reprendre le travail et retrouver ses collègues. Pourtant, son confinement s’est « plutôt bien » passé. Entourée de son compagnon, Sylvain Quimène ainsi que de ses deux filles, Hedda et Suzanne, respectivement âgées de 13 ans et de six ans et demi, Daphné Bürki en a profité pour se ressourcer. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la petite famille était déchaînée. A commencer, bien évidemment, par Daphné Bürki elle-même qui n’a pas manqué une occasion de danser et chanter depuis sa fenêtre.
Daphné Bürki gênée par la distanciation physique avec ses proches
Le seul bémol ? L’école à la maison. « La première est en cinquième, la seconde au CP. Moi qui avais la phobie de l’école, il a bien fallu que je m’y replonge pour assurer les cours à la maison, mais ça a été un vrai bonheur d’être avec elles », nuance l’animatrice dans les colonnes de Télé 7 Jours ce lundi 18 mai. Mais ce n’est rien par rapport à ce détail qui lui manque particulièrement. Depuis l’arrivée du coronavirus en France, la distanciation sociale est de mise. Une période compliquée à gérer pour ceux qui sont tactiles. Deux clans sont opposés à ce sujet. Si certains ne veulent pas voir la bise réapparaître, a contrario, Daphné Bürki est en manque de contact physique, de démonstrations d’amour. « Ne plus pouvoir se toucher, s’embrasser ni se taper dans la main » provoque un véritable manque auprès de l’animatrice.
« Moi, si je ne tripote pas les autres, je suis malheureuse », lâche-t-elle dans un éclat de rire à nos confrères. Néanmoins, la distance imposée par la crise sanitaire a permis à cette dernière de découvrir que « se toucher va bien au-delà du geste : ça passe par le regard, la musique, les émotions… », liste-t-elle, avant d’analyser : « Finalement, je me suis rendu compte que l’on avait juste besoin de nourriture et d’amour ». Le coronavirus a en effet permis à de nombreuses personnes de se recentrer sur l’essentiel, et en particulier leur vie de famille. A croire, que malgré tout, des points positifs peuvent ressortir de cette crise sans précédent.
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