Pour la première fois, Myriam L’Aouffir sort de son silence. La compagne de Dominique Strauss-Kahn se confie en exclusivité à Gala ce 23 avril. Depuis le début de leur relation, l’épouse de l’homme politique a toujours été un soutien sans faille.

Depuis sa toute première apparition au bras de Dominique Strauss-Kahn en 2013, Myriam L’Aouffir avait opté pour la discrétion. Tous les projecteurs étaient pourtant braqués sur elle quand, trois mois après son divorce avec Anne Sinclair, l’homme politique montait les marches du festival de Cannes en sa compagnie. La femme d’affaires, passée par les bureaux de France Télévisions et l’ambassade du Maroc avant de monter son agence de conseil, préfère se murer dans le silence. Une façon peut être d’éviter d’alimenter les médias et montrer le soutien sans-faille qu’elle a toujours apporté à son compagnon.

Il faut dire qu’au moment de leur officialisation, Domique Struass-Khan est impliqué dans trois affaires judiciaires. Il ya celle du Sofitel à New York, réglée par un accord amiable, celle du Carlon de Lille pour « proxénétisme aggravé » où il sera relaxé et celle de la romancière Tristane Banon qui l’accuse de tentative de viol. Des faits qui ne semblent importer à Myriam L’Aouffir : elle n’hésite pas à apparaitre plusieurs fois à ses côtés. En 2017, dans la plus grande intimité, le couple se marie au Marrakech.

Dominique Strauss-Kahn et Myriam L’Aouffir, confinés ensemble

C’est d’ailleurs là que le couple passe son confinement, dans leur riad. C’est ce que confie celle qui pour la première fois accepte de parler aux médias. Très engagée pour son pays natal, elle se bat depuis plusieurs années avec ses deux associations pour promouvoir l’éducation et l’alphabétisation ainsi que pour la protection maternelle et infantile dans les zones rurales. Si elle explique en exclusivité à Gala que ses deux enfants, issus d’une précédente union et restés en France à cause de la fermeture des frontières, lui manquent, elle positive : « il est primordial de tout relativiser, l’important étant d’avoir un toit, de quoi se nourrir et d’être avec son mari et ses proches. »

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