Installé à Los Angeles avec sa femme et son fils, Michel Polnareff est lui aussi confiné pour lutter contre la pandémie de coronavirus. Invité de Magali Berdah dans le live qu’elle organisait vendredi en vue de récolter de l’argent pour la Fondation Hôpitaux de Paris – Hôpitaux de France, l’Amiral a expliqué pourquoi il vivait mal cet enfermement.
Les États-Unis sont le nouvel épicentre du coronavirus après la Chine et l’Europe. Le pays compte déjà plus de 30 000 morts principalement dans l’État de New York. Pour lutter contre sa propagation, de très nombreux états américains ont décidé de confiner leur population dont la Californie, lieu de résidence de Michel Polnareff depuis près de quarante ans. Invité de Magali Berdah pour un live spécial organisé en vue de récolter des fonds pour la Fondation Hôpitaux de Paris – Hôpitaux de France, l’Amiral a confié vivre « très mal son confinement ».
« On est presque en résidence surveillée », estime-t-il. Mais l’artiste – confiné avec sa femme Danieyllah et son fils Louka – sait que les sacrifices demandés ont un but bien particulier. « On nous a dit d’être confiné pour aider les autres alors il faut être confiné et je respecte ce qu’il faut faire pour éventuellement se débarrasser de cette saloperie », indique Michel Polanreff qui a fait part à nouveau au cours de cette interview de son admiration pour le professeur Didier Raoult.
L’Amiral juge que le confinement va « détruire des couples »
« Le confinement me paraît être une décision assez intelligente mais on a du mal à comprendre ce qu’il passe », commente encore l’Amiral sur cette situation. Pour lui, le confinement aura des effets néfastes sur les relations familiales. « Ce virus détruit des vies, des couples. C’est une catastrophe », juge-t-il. En tout cas, cette prise de parole inédite vendredi soir auprès de Magali Berdah aura permis une bonne chose : récolter près de 15 000 euros pour la Fondation Hôpitaux de Paris – Hôpitaux de France. « Je suis ravi d’avoir amené une petite pierre à cette fondation », s’est réjoui Michel Polnareff.
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