Gagnante de Koh-Lanta en 2005, Clémence Castel vient de donner de ses nouvelles à Denis Brogniart. Après avoir jugé la nouvelle saison du jeu qui l’a rendue célèbre, la jeune femme avoue que le confinement a sérieusement compliqué sa vie professionnelle.

C’est une Clémence Castel loquace qui vient de répondre aux questions de Denis Brogniart lors d’un live Instagram diffusé lundi 30 mars 2020 en fin de journée. Grande gagnante de Koh-Lanta en 2005, la jeune femme ne s’est pas fait prier pour commenter la nouvelle salve d’aventures à l’autre bout du monde actuellement diffusé sur TF1. « C’est une super idée de mélanger des nouveaux et des anciens candidats. Mais les nouveaux ne doivent pas sous-estimer les liens que les anciens ont tissé entre eux lors des dernières saisons, a-t-elle souligné en avouant avoir une préférence pour Régis. On a vu lors des précédentes éditions que les gens discrets peuvent très vite tirer leur épingle du jeu ». Une aventure qu’elle ne retentera pas… Du-moins, pas tout de suite… « Un Koh-Lanta doit être vécu si on a la motivation et si on a envie de se lancer un nouveau défi, ajoute l’ex-compagne de Mathieu Johann. Aujourd’hui, j’ai fait 3 Koh-Lanta et je pense avoir fait le tour mais il ne faut jamais dire jamais »

Les difficultés professionnelles de Clémence Castel

Lors de son live avec Denis Brogniart sur Instagram, Clémence Castel a également parlé de son activité en Normandie. « Faire Koh-Lanta, c’est un métier mais à côté, j’ai une activité professionnelle. Je tiens un café-concert à Cherbourg, déclare la jeune femme. Ça fait 10 ans que c’est ouvert et ça prend énormément de temps ».Mais aujourd’hui, avec le confinement imposé par la pandémie du coronavirus, la situation est plus difficile. « C’est compliqué avec le confinement, ça fait 15 jours que c’est fermé, je fais face à des difficultés mais on essaie de s’adapter, avoue Clémence Castel. Mes employés sont au chômage partiel car il y a zéro activité et je leur dois un salaire. » Un chômage partiel que le gouvernement à promis de couvrir « quoi qu’il en coûte ».


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