En 2015, Fabienne Carat avait participé à Danse avec les stars avec Julien Brugel comme partenaire. Une aventure dont la vedette de Plus belle la vie ne garde pas que des bons souvenirs. En particulier lorsqu’elle repense à un sale coup que lui avait fait la production.
Fabienne Carat s’est couchée sur le papier. De son rôle mythique de Samia Boher dans Plus belle la vie à ses rêves de cinéma en passant par son souhait, peut-être trop tardif, de devenir mère, l’actrice de 40 ans dit tout d’elle-même dans son livre Danse avec la vie. Un titre qui rappelle évidemment sa participation au concours de danse de TF1, en 2015. Pourtant, l’épouse fictive de Stéphane Hénon n’en garde pas que des bons souvenirs. Elle, qui avait été éliminée au bout de la huitième semaine de compétition, regrette que les dés soient pipés. « Des musiques à l’ordre de passage, en passant par la notoriété du danseur partenaire, tous les détails mis bout à bout influencent le classement. De là à dire que la production tire les ficelles. En tous cas, il est clair que nous ne partons pas tous avec les mêmes chances », déplore-t-elle dans son ouvrage à paraître le 20 mai prochain et dont Télé-Loisirs dévoile les bonnes feuilles. Il faut dire qu’elle avait une sacrée épine dans le pied, du nom de Chris Marques. Tout au long de l’aventure, ce dernier n’a fait que lui attribuer la note de 4 sur 10…
Fabienne Carat a-t-elle été sabotée ?
« Derrière son pupitre, Chris Marques se montre souvent dur avec moi » se remémore Fabienne Carat dans son ouvrage. Mais ce qui restera à jamais gravé dans sa mémoire, c’est une scène qu’elle a vécue comme une trahison de la part de la production. Pendant plusieurs jours, la star de France 3 s’était entraînée d’arrache pied avec son partenaire Julien Brugel afin de réaliser le mythique porté du film Dirty Dancing. Un pas que l’actrice pensait plutôt bien maîtriser, mais qui lui a été interdit de faire à la dernière minute. « Notre travail acharné finit par porter ses fruits. Jamais nous n’avons été aussi au point. […] Pourtant à la fin de la journée, je vois arriver Julien avec une mine défaite. La production vient de lui apprendre que notre musique a changé. Selon elle, nous n’avons pas le niveau. Comment pouvait-elle avoir tranché sans avoir assisté aux répétitions ? » , s’interroge-t-elle dans son ouvrage. Une question qui restera sans réponse…
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