L’occasion était trop belle ! Gérard Lanvin, à l’affiche du film « Papi Sitter » de Philippe Guillard le 4 mars 2020, a accepté de parler de sa famille… notamment de sa petite-fille de 10 ans.

Il fait partie de la grande famille du cinéma, mais pas seulement. Gérard Lanvin a aussi son propre clan d’artistes à la maison. Actuellement, le comédien de 69 ans est à l’affiche de Papi Sitter, de Philippe Guillard – sortie en salles le 4 mars 2020. Dans le film, il incarne André Morales, gendarme à la retraite qui accueille sa petite-fille chez lui… ainsi que l’autre grand-père. Si le personnage ne s’inspire pas de son propre caractère, il a très certainement pu puiser dans sa propre expérience pour exceller comme il en a l’habitude.

« J’ai une petite-fille de 10 ans avec qui je m’entends très bien, explique-t-il dans les colonnes du Parisien. Elle a un brin de folie elle-même. Ce sont nos métiers qui veulent ça. En plus avec Manu [son fils, NDLR], on vit dans la musique. On n’a pas une vie ordinaire. Il y a toujours un peu de oufferie. Du coup, la petite, elle nous a vus dingues et elle est avec nous comme une complice. » Après son premier mariage avec Dominique Quilichini – par la suite, épouse de Renaud –, Gérard Lanvin a trouvé l’amour dans les années 1980 dans les bras de l’ancienne chanteuse disco Chantal Benoist, dite Jennifer Lanvin. Ensemble ils ont eu deux enfants : Manu Lanvin, musicien comme maman, et Léo Lanvin, acteur, animateur radio.

S’il se décrit comme un papi cool, Gérard Lanvin serrait visiblement la vis davantage avec ses propres enfants. Pas comme son personnage, bien sûr… mais presque ! « Je n’ai pas cette rigueur militaire, mais j’ai une rigueur sur les comportements, poursuit-il. J’ai été rigide sur les valeurs, quand je voyais mes enfants serrer la main à quelqu’un sans regarder la personne dans les yeux, j’intervenais. J’ai essayé de leur apprendre la droiture. À être corrects avec les autres. À dire ce qu’ils pensent. Tout ce qu’on ne voit plus. C’est ma réussite, mais c’est sûr que tu passes pour un casse-couilles ! » À la guerre comme à la guerre…

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