Dans les années 80, Carole Bouquet a vécu quelques mois avec l’actrice Clio Goldsmith, provoquant par la même occasion de nombreuses rumeurs quant à la relation qu’entretenaient les deux jeunes femmes. Pour Vanity Fair, Carole Bouquet est revenue sur cette période.
En 1980, Carole Bouquet tournait le film américain Blank Generation à New York. Pendant quelques semaines, la comédienne avait alors vécu dans la ville que l’on surnomme ‘The Big Apple‘. Si elle avait vécu un premier temps au Chelsea Hotel, Andy Warhol lui avait dissuadé de continuer son séjour là-bas, après s’être lui-même fait tirer dessus lorsqu’il se trouvait dans l’établissement. Le photographe de mode avait alors proposé à Carole Bouquet de vivre dans l’appartement de la fille de l’écrivain William Styron. Apparemment, la cohabitation entre les deux jeunes femmes ne s’est pas bien passé, étant donné que la comédienne déménageait peu après dans un appartement avec l’actrice Clio Goldsmith.
En emménageant avec la comédienne surtout connue pour avoir joué des rôles de femme fatale, de prostituée et de call girl au début des années 1980, Carole Bouquet ne s’attendait cependant pas à ce qu’on lui prête une relation amoureuse avec elle ! Dans un entretien accordé à Vanity Fair, elle est revenue sur sa colocation avec Clio Goldsmith : "J’ai pris un appartement avec l’actrice Clio Goldsmith. Tout le monde a longtemps cru que Clio et moi, on sortait ensemble ! Les Italiens surtout, pour qui c’est resté un fantasme – ils m’en parlent encore en interview ! Avec Clio, on formait un duo parfait : moi, je ne disais pas un mot et elle était complètement extravertie dès qu’elle avait bu un verre. Elle dansait sur les tables, elle était si drôle… On a passé un an comme ça, sans avoir de boyfriend."
La comédienne se remémore sa vie à New York
Si Carole Bouquet est surtout appréciée par le public Français, elle se rappelle de l’accueil que les Américains lui ont réservé lorsqu’elle est arrivée à New York : "Quand je suis arrivée, j’ai fait immédiatement la couverture d’Interview, le magazine d’Andy Warhol. Ensuite, je passe toutes mes soirées chez Ellen’s avec la bande de Warhol. Les plus grands acteurs viennent me voir et me disent bravo. En France, personne ne m’avait félicité de rien. Je finis par trouver ça agréable."
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