Dans son livre « Karl et moi », Baptiste Giabiconi lève le voile sur sa relation avec Karl Lagerfeld. Il en profite d’ailleurs pour revenir sur sa fausse relation avec Katy Perry, mise en scène de bout en bout par le jeune mannequin.
Le 19 février 2019, l’un des grands pontes de la mode, Karl Lagerfeld, décédait des suites d’un cancer de la prostate. Un an après sa mort, son protégé Baptiste Giabiconi a tenu à lui rendre hommage dans un livre Karl et moi, qui paraît ce 27 février aux éditions Robert Laffont. Le top marseillais y fait la lumière sur sa relation avec l’ex-directeur artistique de la maison Chanel et révèle quelques anecdotes, notamment sur sa supposée liaison avec Katy Perry.
Il aura fallu plusieurs années pour que le mannequin lâche le fin mot de l’histoire. Une histoire orchestrée de toute pièce. L’affaire remonte à mars 2012. Baptiste Giabiconi, alors âgé de 22 ans, est photographié aux côtés de Katy Perry, au premier rang du défilé Chanel, à Paris. Quelques jours après, ils sont aperçus ensemble à la sortie d’une boîte de nuit. Les rumeurs de relation naissent. A l’époque, aucun des deux ne veut démentir. Et pourtant, tout était faux, comme le dévoile le jeune homme de 30 ans.
Car quand ce dernier apprend que l’interprète de I kissed a girl veut assister au défilé Chanel, il se débrouille pour lui trouver une place, à côté de lui. « Karl savait bien que Katy et moi formions un joli couple pour les photos », écrit le premier héritier du Kaiser. Une image que Baptiste Giabiconi va exploiter dans les jours suivants. Pour ce faire, il appelle un ami photographe qui vient capturer le faux couple. « Katy Perry et moi sommes sortis du Plaza, bim, bam. Je l’ai prise dans mes bras. Bim, bam. Je lui ai fait un gros bisou dans le cou. Clic, clac. Yes man ! Notre story est sortie partout, covers et pleines pages all over the world. Karl était content », poursuit celui qui est désormais le manager de l’instagrameuse Léa Elui.
Le jeune homme assume désormais pleinement ce qu’il s’est passé. « Je n’ai pas honte, tout le monde le fait, plus ou moins. Ça s’appelle de la com », déclare Baptiste Giabiconi. « Certains la paient même au prix fort, moi je préfère la faire maison, comme la vinaigrette. Meilleur et moins cher. » Voilà qui est dit.
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