Ce 18 février, Philippe Candeloro était l’invité de Cyril Hanouna dans TPMP. Il a révélé comment Nathalie Péchalat avait pris tout le monde de court en annonçant sa candidature à la présidence de la FFSG.
Au lendemain de la démission de Didier Gailhaguet, président de la Fédération française des sports de glace, suite au scandale des abus sexuels au sein du monde du sport, Nathalie Péchalat a déjà annoncé qu’elle voulait prendre sa succession, le 12 février dernier.
Nathalie Péchalat est « partie en solo la dessus »
Et tandis que l’élection se tiendra le 14 mars prochain, certains de ses collègues auraient bien aimé être consultés avant que cette campagne ne débute… Parmi eux Philippe Candeloro, lui aussi champion de patinage, qui était l’invité de Cyril Hanouna, ce 18 février dans Touche pas à mon poste.
Celui qui a récemment participé à l’émission « Stars à nu » sur TF1 a estimé que la femme de Jean Dujardin était « partie en solo la dessus, elle a dégainé la première ». Il explique qu’avec les autres stars du patinage artistique : « On souhaite qu’il y ait une grosse partie de la fédération qui change. Ça fait plus de 20 ans qu’on attend d’être invité ».
C’est pourquoi il discute notamment avec Sarah Abitbol – celle qui a sorti un livre, « Un si grand silence », où elle accuse son ancien entraîneur Gilles Beyer de l’avoir violée à plusieurs reprises entre 1990 et 1992 – dit-il.
Malheureusement, Philippe Candeloro n’ont pas eu le temps de réfléchir à une stratégie gagnante qui rassemble que Nathalie Péchalat s’est lancée. Cette candidature surprise : « ça nous a coupé l’herbe sous le pied » reconnaît-il. Et d’ajouter : « on est en train de regarder comment on va soutenir sa candidature. On a pas envie d’être contre elle ».
Elle « n’a proposé ni un programme ni une équipe »
Pour le moment, celle qui a participé à la saison 5 de Danse avec les stars « n’a proposé ni un programme ni une équipe, mais elle a peut être déjà des soutiens » révèle aussi Philippe Candeloro. Tout reste donc à faire. De son côté, il confie : « Je suis en train d’y réfléchir, et on pense que c’est bien que ce soit une femme qui prenne la direction ». Alors soutiendra ou soutiendra pas ?
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