Rediffusé dimanche 16 février 2020 à partir de 21h05 sur 6ter, le film Pirates des Caraïbes, la malédiction du Black Pearl a connu un tournage assez compliqué. Télé Star vous dévoile aujourd’hui pourquoi.
Sorti au cinéma en 2003, le film Pirates des Caraïbes, la malédiction du Black Pearlest le premier volet d’une franchise cinématographique populaire, et très lucrative pour les studios Disney. Les téléspectateurs français auront d’ailleurs l’occasion de découvrir, ou de redécouvrir, ce long-métrage puisqu’il sera rediffusé dimanche 16 février 2020 à partir de 21h05 sur 6ter. Porté par Johnny Depp, Orlando Bloom, Keira Knightley, ou bien encore Geoffrey Rush, la réalisation de cette fiction fut plutôt éprouvante pour les équipes du cinéaste Gore Verbinski. En fait, le tournage de Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl a débuté le 9 octobre 2002.
Après avoir passé deux semaines à travailler en studio, l’équipe de production est partie tourner du côté de Los Angeles, puis aux Iles Grenadines. Malheureusement, le tournage en haute mer s’est avéré très difficile pour les organismes puisque de nombreuses personnes ont souffert du mal de mer. De plus,il a fallu gérer le fait que les décors aux Caraïbes s’échelonnaient sur près de 60 kilomètres de long. Pour l’anecdote, les bateaux servaient à la fois de lieu de tournage et de moyen de transport. Au total, plus de 300 personnes de l’équipe de production effectuaient 1h30 de trajet en mer quotidiennement.
Pirates des Caraïbes, la malédiction du Black Pearl : l’équipe de tournage n’avait pas le pied marin
En plus de tout cela, le tournage de ce premier film fut également perturbé par des animaux turbulents. Par exemple, le perroquet du personnage de Cotton, le pirate muet, a été interprété par trois volatiles différents. L’und’entre eux s’est montré particulièrement turbulent puisqu’il s’est régulièrement attaqué au lobe de l’oreille de l’acteur. De son côté, le singe principal du film, qui est le compagnon du Capitaine Barbossa, a dû passer de longues heures avec Geoffrey Rushpour s’habituer à l’acteur. L’animala également dû assister à la métamorphose du comédien en son personnage afin de passer outre la "supercherie" des maquillages.
Un diaporama réalisé parArabelle Combet
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