Invité dans De quoi j’me mêle le 15 février sur C8, Fabien Lecoeuvre n’a pas mâché ses mots envers Michel Polnareff, avec qui il est brouillé depuis pas mal de temps.

Ce samedi 15 février, Eric Naulleau a reçu plusieurs invités dans De quoi j’me mêle : Isabelle Mergault, Saïd Taghmaoui et Fabien Lecoeuvre. Et c’est justement sur le chroniqueur de Touche pas à mon poste que la lumière a été faite hier soir, notamment pour son autobiographie Une chanson dans la tête. Yann Moix a tenu à savoir pourquoi, dans son autobiographie, Fabien Lecoeuvre a eu des mots très “violents, parfois injustes, envers l’interprète de Lettres à Francealors qu’il est un “génie intégral et total”.

Le spécialiste de la chanson française a tenu à confirmer les propos de l’ancien chroniqueur d’On n’est pas couché, mais a expliqué que son “couple” avec Polnareff est basé sur une relation de “Je t’aime, moi non plus”. “On s’est déjà disputés violemment en 2006 ou 2007, il voulait presque me tuer”, s’est souvenu l’attaché de presse de 61 ans. Reprenant les mots du chanteur, “on n’est pas fâchés, on est en froid”, a-t-il expliqué dans l’émission présentée par Eric Naulleau.

« Il souffre d’un mal-être qui s’appelle la procrastination »

Finalement, Fabien Lecoeuvre a tenu à rétablir la vérité concernant sa brouille avec Michel Polnareff qui, ces dernières semaines, s’est beaucoup exprimé sur les réseaux sociaux. “C’est pas parce qu’on est Michel Polnareff (…) qu’on peut laisser dire tout et n’importe quoi. Je pense qu’à un moment donné, il faut dire les choses à celui qui est en face. Il souffre d’un mal-être qui s’appelle la procrastination. C’est sa manière de créer et de défaire le lendemain ce qui a été fait la veille”, a expliqué Fabien Lecoeuvre. Des propos qui font écho à ceux prononcés quelques jours plus tôt dans C’est que de la téléauprès de Valérie Bénaïm où il avait expliqué que l’origine de leur brouille est liée à une histoire d’argent. “J’ai un contrat avec lui depuis des années en tant que conseiller en communication et agent, qui me rémunère à 16% de ses revenus”, avait-il expliqué, précisant avoir aidé Polnareff à signer un juteux contrat, sur lequel il n’aurait toujours pas touché sa commission. Pas sûr que la déclaration de hier soir leur permettra d’enterrer la hache de guerre.

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