Au coeur des intrigues de « Demain nous appartient », Kamel Belghazi décompresse dès qu’il rejoint sa famille loin des plateaux de tournage. Tout comme son personnage, le comédien a deux filles à élever…
Les temps sont durs pour la famille Daunier-Jacob. Dans les récents épisodes de Demain nous appartient, diffusés sur TF1, William a appris qu’Aurore l’avait trompé dix-sept ans plus tôt avec son meilleur ami Samuel… et que Sofia, sa fille aînée, n’était pas son enfant biologique. Mais le conflit familial s’est estompé alors que le clan a compris que les attaques visant la ville de Sète tentaient en réalité de les affaiblir. Rude. Dans la vraie vie, heureusement, Kamel Belghazi peut dormir sur ses deux oreilles…
Le succès frappe à sa porte depuis qu’il est devenu l’une des figures télévisées favorites des français – notamment, pendant dix-huit ans, dans Une famille formidable. Côté famille, tout va également comme sur des roulettes. Kamel Belghazi partage quelques étranges points communs avec son personnage William. Il a aussi deux filles et l’une d’entre elle s’appelle Sophia ! Et chacune a son lien particulier avec papa, ses petites habitudes… et un petit surnom plutôt surprenant.
« Elles me rendent dingue, explique-t-il dans les colonnes de Télé Star. Sophia a 3 ans, elle m’appelle Papa copain. Quant à Mila, 8 ans, je ne sais pas pourquoi elle m’appelle Duke. Je suis assez cool avec elles, je fais plein d’activités dès que le temps me le permet. Elles savent comment ça marche : je fixe un cadre et pas question d’en sortir. Je suis partisan de les laisser apprendre par elles-mêmes. » Un bon entraînement pour savoir comment gérer, au quotidien, Emma Smet et Maïna Grézanié, ses enfants de fiction.
Entre vie privée et vie professionnelle, Kamel Belghazi a trouvé un équilibre, divisé entre le Sud de la France et la capitale. Heureusement, dès qu’il s’éloigne de sa famille, il peut compter sur ses partenaires de jeu, avec qui la synergie semble parfois salvatrice. « Ça se passe très bien, précisait-il, avec Julie Debazac, à Purepeople. Tous les quatre, on s’est imbriqué comme un puzzle. On a des personnalités extrêmement différentes. Emma, elle a une forme de douceur, d’écoute, de regard très fort. Elle travaille intensivement. Et elles s’entendent très très bien toutes les deux. Les scénaristes ont trouvé un rythme d’écriture pour chacune. On a trouvé un équilibre... » Un mission rondement accomplie, donc, par Papa copain…
Source: Lire L’Article Complet