Invité dans l’émission « Clique » diffusée sur Canal + ce lundi 4 novembre, Dominique Farrugia s’est confié au sujet de sa maladie, qui l’oblige à se déplacer en fauteuil roulant. Non Stop People vous en dit plus.
Dominique Farrugia était l’invité de Mouloud Achour ce lundi 4 novembre. Sur le plateau de l’émission « Clique » diffusée sur Canal +, le réalisateur de 57 ans a évoqué sa sclérose en plaques. Dominique Farrugia combat en effet cette maladie neurodégénérative depuis déjà vingt-huit ans. Il avait malheureusement seulement 29 ans lorsque les médecins lui ont diagnostiqué cette maladie. Actuellement, le réalisateur de « La cité de la peur », « Bis » ou encore « Sous le même toit » est contraint de se déplacer en fauteuil roulant. Décidé à garder le moral et la tête haute, Dominique Farrugia avait déclaré à Paris Match il y a un an : « C’est de plus en plus difficile, mais je le fais et je vais travailler. En ce moment, je suis beaucoup en fauteuil roulant, car je suis tombé il y a un an et je me suis fait mal aux croisés du genou. J’aimerais essayer d’être un petit peu debout et puis marcher ».
Alors qu’il s’est déplacé sur le plateau de « Clique » à l’occasion des 35 ans de Canal +, Dominique Farrugia a pu se détendre un petit peu en découvrant une vidéo humoristique de la petite série « Migraine », avec Roman Frayssinet. Dans cet épisode, les acteurs évoquent l’insistance de certains fêtards lors de soirées. L’occasion pour celui qui a réalisé « L’amour c’est mieux à deux » de prouver qu’il a toujours de l’humour à revendre, malgré sa bataille contre la maladie et contre le handicap. « Comme tout le monde le sait, je passe beaucoup de temps en fauteuil roulant. Ce sont ces gens-là qui viennent me parler, mais moi, je ne peux pas me barrer », se lamente-t-il en lâchant un sourire. « Je ne peux plus aller dans les fêtes, parce que dès qu’ils ont quatre verres dans le nez, ils te parlent à deux centimètres de l’oreille et ils te disent : ‘je vous aimais beaucoup sur Canal +!' ». Dominique Farrugia a beau être malade, il ne semble pas pour autant apprécier qu’on lui tienne la jambe ou qu’on le prenne en pitié.
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