Si l’héritage de Johnny est une affaire rocambolesque, Michel Drucker l’a comparé à une histoire tout aussi folle qui concerne un très grand musicien français.
Dans un entretien accordé à Gala, Michel Drucker a évoqué sa relation avec sa fille adoptive Stéphanie Jarre (depuis 1996). Pour rappel, cette dernière est la fille de son épouse Dany Saval mais aussi celle du célèbre compositeur de musique de films Maurice Jarre.
La présentateur a expliqué que Stéphanie a dû attendre de nombreuses années avant de connaître son père biologique. Après avoir renouer avec lui, ce dernier décéda quelques années plus tard.
Puis la question de l’héritage, vient sur la table. Et à partir de là, c’est le début des problèmes… D’ailleurs, l’animateur de Vivement Dimanche, a comparé cette histoire à une autre qui continue de faire parler. « Ça nous rappelle un Dallas à la française avec un célèbre rocker : il n’a rien laissé. Stéfanie souhaitait récupérer son oscar décroché pour la musique du Docteur Jivago, car elle a été conçue à cette période-là. Mais, rien. Pas même une partition pour ses enfants ».
Michel Drucker est sur les routes de France avec un deuxième spectacle, intitulé De vous à moi et rempli de nombreuses anecdotes.
Une scène surréaliste !
À l’occasion de son autobiographie Mélancolique Rodéo, Jean-Michel Jarre est revenu dans Vivement Dimanche sur France 2 en octobre dernier sur les obsèques de son père :
« On est devant un cercueil et on découvre que c’est un cercueil de location. J’ignorais avant ça que les cercueils se louaient comme un smocking. Une mort sur son 31, d’une certaine manière. Donc on pose la question à sa femme… Et elle nous répond qu’un vrai cercueil met trop de temps à brûler », a-t-il raconté. Le compagnon de l’actrice chinoise Gong Li a poursuivi en disant :
« Ensuite, on va sur le chemin de la crémation. Et là on s’aperçoit, quand le cercueil sort du corbillard, on se rend compte que notre père à Stéphanie et à moi, le grand-père de David, est dans une sorte de carton d’emballage. Donc on se regarde… Il a les pieds qui dépassent. Et David dit : ‘Mais quand même les pieds qui dépassent! ». Et le gars lui dit : ‘Oh c’est pas grave!’. Et les pousse à l’intérieur du carton. «
Une histoire surréaliste qui a le don, à chaque fois qu’il la raconte de le faire rire ou pleurer…
Jb.
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