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Dans son édition du jeudi 23 janvier 2020, Paris Match détaille tout ce à quoi Meghan Markle et le prince Harry ont renoncé en s’éloignant de la famille royale britannique.
Adieu veau, vache, cochon, couvée ! Ou plutôt : adieu broches, ras-de-cou, colliers et bracelets. En achetant sa liberté, Meghan Markle aussi dû se défaire de certains privilèges. Eh oui, choisir, c’est renoncer. Le 18 janvier 2020, par le biais d’un simple communiqué, l’actrice de Suits et son mari le prince Harry ont choisi de renoncer. “Après plusieurs mois de réflexion et de discussions en interne, nous avons décidé d’engager cette année une transition”, ont-ils ainsi déclaré. “Nous voulons prendre du recul en tant que membres senior de la famille royale et travailler pour être financièrement indépendants, tout en continuant de soutenir pleinement Sa Majesté la Reine.” Aussitôt dit, aussitôt fait. Le couple s’en est allé au Canada, où il vient de s’installer et commence à construire sa nouvelle vie loin de la Monarchie avec le fils Archie… dans une luxueuse villa de 640 m2. Mais, comme le rappelle Paris Match dans son édition du jeudi 23 janvier, cette liberté a un prix.
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“S’affranchir du conglomérat Windsor Inc., le portefeuille royal qui déborde de propriétés majestueuses, de terres fertiles, de multiples logements, de carrosses, de placements financiers, que la souveraine gère et exploite en attendant le suivant, n’est pas une mince affaire”, écrivent ainsi nos confrères. “Harry ne rompt pas avec sa famille, il n’est pas question de l’exiler comme un vulgaire abdicataire, il rompt avec son patron, la Firme qui le lange et le gâte depuis sa naissance. Puisque le prince se retire du job de ‘royal’, les deniers publics que lui reversait Elizabeth II au titre des fonctions de représentation disparaissent, soit quelques centaines de milliers de livres par an.” Meghan Markle y perd aussi : Elizabeth II (dont le Sunday Time estime la fortune à 370 millions de livres), “ne prêtera plus ses parures à Meghan, qui peut dire adieu aux 98 broches, 46 ras-de-cou, 37 bracelets…” Et tutti quanti.
Le couple n’est toutefois pas à plaindre. Pour Harry, on parle ici “de broutilles” en comparaison des “2,5 millions annuels que lui donne son père depuis trois ans, en échange de bons et loyaux services.” Une jolie somme – un beau pactole, même – que le prince Harry pourrait conserver, puisqu’elle provient des “revenus personnels” de son père bien-aimé. “Aussi, Charles a laissé entendre, selon la presse anglaise, qu’il allait financer la transition du couple Sussex sur ses fonds personnels, sa cassette, d’un montant opaque.” De son côté, Meghan Markle a déjà cru bon de se protéger : l’actrice aurait conservé “son manager, son avocat, son agent de l’époque de la série Suits, comme si elle se ménageait une porte de sortie.” Niveau bijoux, elle peut d’ailleurs compter sur son amie Jennifer Meyer, célèbre créatrice de bijoux à Hollywood, dont elle porte déjà régulièrement les pièces, pour briller de mille feux. Pas aussi bling-bling que ceux de la Reine, mais chic tout de même.
Fini, la royauté, donc ? Pas vraiment. Meghan et Harry sont en effet toujours considérés comme duc et duchesse de Sussex. Sur la page d’accueil de leur site internet, SussexRoyal.com, on peut d’ailleurs lire qu’il s’agit-là du “site officiel du duc et de la duchesse de Sussex.” En dessous de l’onglet “Supporting community” (“Engagement auprès de la communauté”) on peut aussi lire “Serving the Monarchy” (“Au service de la Monarchie”). La belle-famille, aussi royale soit-elle, c’est parfois bien… de loin.
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