Ce samedi 2 novembre, la chanteuse et comédienne Marie Laforêt est décédée, comme le révèle ce 3 novembre l’AFP. Non Stop People vous en dit plus.
Ce mois de novembre démarre décidément tristement. L’industrie du disque a perdu ce samedi 2 novembre une ancienne figure emblématique des années 60. C’est en effet malheureusement la chanteuse Marie Laforêt qui vient de rendre son dernier souffle. L’AFP a annoncé ce 3 novembre que celle qui était également actrice est décédée « à 80 ans en Suisse ». L’agent de Lisa Azuelos, la fille de la star, s’est exprimé auprès de Purepeople. Dominique Segall de son nom a expliqué à nos confrères que Marie Laforêt s’est éteinte à la clinique de Genolier. Il s’agit de l’établissement hospitalier suisse où Alain Delon a été soigné lors de sa convalescence, après avoir été victime d’un AVC. L’interprète du titre « Viens, viens », qui vivait en Suisse depuis les années 1970, était hospitalisée depuis plusieurs semaines dans la fameuse clinique.
Une star du septième art et de la chanson
Marie Laforêt venait de célébrer ses 80 ans il y a peu (le 5 octobre dernier précisément) et elle laisse derrière elle de nombreux fans, mais surtout sa fille qu’elle a eu avec son ex-mari Judas Azuelos, ainsi que son mari Eric De Lavandeyra, qu’elle a épousé en 1990. Maïtena Douménach de son vrai nom est la mère de Jean-Mehdi-Abraham Azuelos et de Eve-Marie-Deborah, née de ancien mariage avec Alain Kahn-Sriber. Mariée en tout à cinq reprises, elle s’est fait connaître en 1964 avec son tube « Les vendanges de l’amour ». Son public retiendra d’elle notamment ses quatorze albums studio en français et sess célèbres chansons en espagnol, en portugais, ou encore en italien. Marie Laforêt s’est également fait un nom dans le septième art, en jouant dans le film « Plein soleil », aux côtés d’Alain Delon et de Maurice Ronet. La star du cinéma a ensuite pu se voir ouvrir des portes et obtenir des rôles dans des films signés des plus grands réalisateurs français, à l’instar d’Edouard Molinaro, de Claude Chabrol et de Georges Lautner.
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