Invitée sur les ondes de RTL, dans l’émission « On refait la télé », ce samedi 18 janvier, Lorie Pester s’est confiée sur son parcours. L’occasion pour elle d’avouer qu’elle n’a pas toujours été polie avec les paparazzis. Pire, elle a déjà fait preuve de violence physique à leur égard. Non Stop People vous en dit plus.
Le phénomène Britney Spears aux Etats-Unis avait inspiré le producteur Johnny Williams. Souhaitant trouver une artiste sachant danser et chanter, il fait la rencontre d’une certaine Lorie Pester, qui lui avait été présentée par l’animateur Vincent Perrot. Après une maquette du titre « Près de toi », d’abord refusée par les maisons de disques, la jeune chanteuse a connu une consécration rapide. Propulsée sur le devant de la scène suite à la sortie de son deuxième album, « Tendrement », en septembre 2002, elle était devenue l’idole de toute une génération. Depuis, Lorie Pester a bien évolué. De 2017 à 2019, elle a pu confirmer ses talents d’actrice dans la série « Demain nous appartient » sur TF1.
La célébrité a ses inconvénients. Lorie Pester l’a très vite compris. Invitée dans « On refait la télé » ce samedi 18 janvier, sur les ondes de RTL, la chanteuse et comédienne – très discrète – de 37 ans s’est confiée sur ses rapports avec les paparazzis. Rapports qui n’étaient pas au beau fixe au début de sa carrière, en raison de la traque constante des photographes. « C’est quelque chose que j’ai vraiment mal vécu », a-t-elle expliqué à Jade et Eric Dussart. Suivie en permanence, Lorie Pester a pris conscience de l’importance de « garder [son] propre jardin secret ». Peu discrets, « insolents » voire « arrogants », les paparazzis ont parfois poussé Lorie Pester dans ses derniers retranchements. « Très souvent, je me tape avec eux », a-t-elle ainsi avoué au micro. Dans la foulée, elle a révélé avoir déjà frappé un paparazzi à l’aéroport de Montréal. Ce geste lui a valu une sacrée réputation auprès des pros des photos volées. Désormais, Lorie Pester essaie de ne plus être violente avec les paparazzis, malgré un épisode très éprouvant de sa vie durant lequel elle était terrifiée à l’idée d’être photographiée à son insu. « La toute première fois que j’ai eu affaire aux paparazzis, j’étais en vacances au soleil (…) et je ne suis pas sortie de l’hôtel pendant trois jours, parce que je pleurais », s’est ainsi remémoré Lorie Pester. Et de conclure : « avec le temps, on vit avec ».
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