Le duc et la duchesse de Sussex ont annoncé s’émanciper de la famille royale. Mais quelle va être leur vie maintenant ?
Une fois de plus, Harry et Meghan ont réussi leur coup. Celui d’éclipser, même momentanément, leurs « rivaux » Kate et William. Car en ce jeudi 9 janvier, jour anniversaire de Kate (si, si, elle souffle sa 38è bougie aujourd’hui), qui se soucie de l’épouse de l’héritier du trône ? Pas grand monde, avouons-le. Non aujourd’hui, c’est tout pour les Sussex après leur annonce choc de renoncer à leur rôle de premier plan au sein de la famille royale et leur volonté d’acquérir leur indépendance financière.
Tandis que les tractations et discussions doivent s’entamer avec le Palais et sa Majesté la reine Elisabeth II, on est en droit de se poser certaines questions, quant à la suite des événements concernant ce sacré couple Sussex que décidément rien n’arrête.
Où vont-ils donc vivre désormais ?
Souhaitant partager leur temps entre le continent américain et la vieille Europe, Harry et Meghan devraient donc continuer de poser leurs valises au Frogmore Cottage (rénové à grand frais par la couronne… et juste avant leur décision ! Ben voyons…) à Windsor, et parallèlement sans doute acquérir une demeure au Canada, pays que madame affectionne particulièrement, où elle a ses amis, ses repères. Et où les paparazzis n’ont pas encore leurs habitudes. Mais rien ne leur interdit plus maintenant de s’installer aussi une partie de l’année en Afrique comme la rumeur le prétendait il y a encore quelques mois. Tout cela dans le but de se préserver surtout de la pression médiatique, de protéger leur fils Archie.
Va-t-on continuer à les voir ?
La réponse est : oui bien sûr ! Car si ils ne veulent plus montrer leur trombine lors des manifestations royales officielles (type Trooping the colors, Noël à Sandringham and co), ils ont assuré qu’ils continueraient à représenter la Couronne a minima tout en défendant des causes qui leur tiennent à cœur à travers leur fondation. Une mission qui reste à préciser sachant que l’aval de la souveraine sera de toute façon nécessaire. Et c’est bien tout l’objet des discussions en cours avec le Palais. Aujourd’hui, les Sussex veulent faire passer le message : c’est eux qui décident ! Car auraient-ils supporté encore longtemps ces rôles de l’ombre qu’on souhaitait leur attribuer au nom de la couronne ?
Vont-ils vraiment devoir travailler pour subvenir à leurs besoins ?
Mais non. Soyons raisonnables, tout de même ! Quand le couple parle d’indépendance financière, ce n’est pas pour se retrouver demain à devoir bosser dans la supérette du coin. Non, cela veut dire qu’il renonce à la liste civile du prince Charles. Car en effet, c’est sur sa cassette personnelle que Harry et Meghan recevaient jusqu’à présent de quoi subvenir à leur quotidien. Et puis, tous deux ont déjà de l’argent. Elle grâce à son ancien métier d’actrice, lui grâce à sa part reçue de l’héritage de sa mère. Et puis, il y en aura bien un ou deux pour leur proposer de participer à une conférence ou un événement caritatif, grassement rémunéré. On ne s’inquiète donc pas. Car ils devraient gagner, aux dires de certaines mauvaises langues, bien plus d’argent désormais…
Vont-ils être déchus de leurs titres royaux ?
Là non plus, on ne s’inquiète surtout pas pour eux. Bien que la vindicte populaire commence à demander qu’on les lui retire, Harry conserve tous ses titres d’altesse royale, prince, duc, comte and co (et madame aussi donc) et son rang dans l’ordre de succession au trône. Rappelons qu’il est actuellement sixième, derrière son père, son frère et ses trois neveux. Il y a de la marge…
Quid de l’avenir de Archie ?
Ce petit bonhomme de 9 mois à peine a le temps de voir venir. Il n’empêche : pour l’heure lui aussi conserve titres et rang mais il gagne surtout une paix royale. Notamment celle de ne plus devoir être exposé à tout va, ou celle d’aller dans une public school -et pas dans l’un de ces établissements huppés qu’affectionne particulièrement d’ordinaire les Windsor- se frotter à d’autres petits congénères un peu plus en phase avec la modernité.
Source: Lire L’Article Complet