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Une étude établit une corrélation entre le volume des seins et la longueur des infections respiratoires.
Pour échapper aux crèves hivernales, vaut-il mieux avoir une petite poitrine ? Ne riez pas, c’est tout à fait sérieux. Une étude publiée dans la revue Archives of sexual behavior fait le lien entre volume des seins et longueur… des infections respiratoires. 400 femmes ont été questionnées sur la fréquence et la durée de leurs rhumes pendant les trois années écoulées.
Les résultats sont étonnants. Les femmes ayant un bonnet F (du très gros calibre donc) étaient touchées par les rhumes pendant 8,3 jours par an. Celles portant des bonnets A n’en souffraient que durant 3,8 jours.
En tirer des conclusions est cependant un peu hâtif dans la mesure où cette étude n’établit que des résultats statistiques. On appelle cela une étude de corrélation. Il faudrait procéder à une étude de causalité pour savoir s’il existe des raisons physiologiques à ce phénomène.
Les chercheurs soupçonnent néanmoins la masse graisseuse des seins volumineux d’affaiblir le système immunitaire qui sert à lutter contre les infections.
Mais, circonspects eux-mêmes sur la signification de ces résultats pour le moins étranges, ils insistent sur la nécessité de mener d’autres travaux avant de tirer des conclusions définitives.
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