Quelle mouche a piqué Jean-Marie Bigard ? Samedi 4 janvier, l’humoriste s’est indigné sur, selon lui, les conséquences de l’une de ses déclarations datant de plusieurs mois…
On le sait, quand il s’agit de livrer le fond de sa pensée, avec plus ou moins de délicatesse, Jean-Marie Bigard est chef de file. S’il peut parfois faire tomber le masque de ce personnage sulfureux qu’il s’est construit au fil des années, notamment en évoquant la disparition tragique de ses parents, l’humoriste n’hésite jamais à monter au créneau avec virulence pour défendre des causes qui lui tiennent à coeur. La preuve il y a quelques jours, alors qu’il s’est joint à plusieurs autres personnalités dans un appel à soutenir financièrement les grévistes qui luttent en ce moment contre la réforme des retraites. Ce n’est pas la première fois que Jean-Marie Bigard prend ainsi position. Et à l’en croire, il en aurait payé le prix cher…
« On me fait payer cette phrase »
Samedi 4 janvier, le mari de Lola Maroiss’est saisi de son compte Twitter pour pousser un nouveau coup de gueule. Pour ce faire, il a posté une séquence qui date de plusieurs mois. Dans cette vidéo, l’humoriste est alors invité dansTouche pas à mon posteet réagit au mouvement des Gilets jaunes, qui a marqué l’actualité politique et sociale à la fin de l’année 2018. « Moi je souhaite que les Gilets jaunes deviennent une révolution mondiale. On est champions du monde de la révolution. Et je souhaite qu’on aille à la chasse aux gros et pas à la chasse aux petits. Quand Macron vient saigner des gens qui n’ont déjà plus de sang dans les veines… », déclarait-il alors avec toute la franchise qui le caractérise tant, incitant ainsi les Français à devenir « les vrais révolutionnaires de toutes la planète ».
Un appel à la révolution qui, selon Jean-Marie Bigard, lui coûterait aujourd’hui cher : « On me fait payer cette phrase, on me demande de fermer ma gueule, on met des coups de pression », a-t-il écrit en légende de cet extrait vidéo publié sur son compte Twitter, avant de poursuivre, avec un langage un peu plus fleuri : « Comme dit mon neveu: Tu sais quoi : JE M EN BALEK. On peut tout m’enlever, sauf mes c*******. » Voilà qui est dit.
On me fait payer cette phrase, on me demande de fermer ma gueule, on met des coups de pression.
Comme dit mon neveu: Tu sais quoi : JE M EN BALEK
On peut tout m’enlever, sauf mes couilles. pic.twitter.com/zqSwSgtREG
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