La rousse flamboyante, qui crève l’écran dans plusieurs séries et téléfilms à succès, risque de ne plus pouvoir jouer…

Tournant depuis plus de vingt ans au cinéma comme à la télévision, elle est désormais considérée comme l’une des plus grandes actrices françaises, de celles que les réalisateurs s’arrachent ! Et avec la série HPI diffusée sur TF1 depuis deux ans, où elle incarne Morgane Alvaro, une mère de famille à haut potentiel intellectuel qui résout des enquêtes criminelles en moins de temps qu’il n’en faut pour les énoncer, Audrey Fleurot s’est taillé une place de choix dans le cœur des Français.

Une place qu’elle aurait d’ailleurs pu ne pas avoir, et qui risquerait même de disparaître de sa vue… La raison ? La rousse flamboyante, qui a souvent avoué avoir beaucoup souffert à l’adolescence du fait de ses rondeurs et de sa myopie, n’est pas loin de friser la cécité lorsqu’elle omet de porter ses lentilles ! « De temps en temps, je les enlève parce que ça me met dans un flou qui est très confortable pour le cinéma, avait-elle confié lors d’un entretien à l’entreprise Ophtalmic Compagnie. C’est très pratique. Quand vous avez toute une équipe technique et que vous devez essayer de vous mettre dans une bulle, ça me permet un peu d’oublier les gens. » Il est vrai que cette vision défaillante a incité l’actrice à tourner elle-même certaines scènes difficiles, par leur caractère intime, alors que beaucoup de ses consœurs font appel à des doublures…

Maligne

« Le premier geste que je fais le matin, c’est chercher mes lunettes, avait-elle dit au fabricant de lentilles oculaires. Je pense que ça m’aurait considérablement limitée au niveau des rôles. Les lentilles, c’est une liberté géniale. J’ai une telle myopie que jouer sans rien, c’est compliqué. »

“Je refuse de me faire opérer !”

En réalité, la belle Audrey a trouvé la parade : elle répète avec ses lentilles et joue sans ! « Mais ce n’est pas du tout systématique, assurait-elle dans l’émission Ça ne sortira pas d’ici, sur France 2. Il ne faut pas me demander de prendre un objet. Ça limite aussi quand même. » Une raison insuffisante pour régler ce problème une bonne fois pour toutes : « Je refuse de me faire opérer pour pouvoir garder cet avantage« , a-t-elle aussi déclaré dans L’Équipe Magazine. Aussi maligne que Miss Alvaro, Audrey Fleurot !

Anne de JOYEUSE

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