Dans le portrait de la Semaine de 50’ Inside, Isabelle Ithurburu recevait Karin Viard ce samedi 23 septembre. Et l’actrice, connue pour son franc-parler, n’a pas hésité à révéler ce qu’elle pensait du rôle de mère, elle qui a eu deux filles.
Elle est libre dans sa vie et dans ses paroles. Karin Viard n’a jamais hésité à dire ce qu’elle pense, que cela puisse faire polémique ou non. Et la comédienne de 57 ans l’a prouvé ce samedi 23 septembre dans l’émission 50’ Inside, qui lui consacrait son portait de la Semaine. Elle s’est largement confiée à Isabelle Ithurburu, qui a pris le relais de Nikos Aliagas il y a quelques semaines. La journaliste a demandé à son invitée si elle avait conscience qu’elle portait le message qu’on pouvait être belle et épanouie après 50 ans. Et l’actrice a été cash, comme elle sait si bien le faire.
« Ah non, je ne pense qu’à moi ! Je pense être la plus heureuse et la plus joyeuse possible. Et en vieillissant, on se débarrasse, on se déleste de pas mal de choses« , a répondu celle qui a aussi raconté sa boulimie à son interlocutrice, avant de se confier sur son rôle de mère. Karin Viard a deux filles, Marguerite, née en 1998 et Simone, née en 2000. « Je trouve que les enfants sont très anthropophages, pour les couples, mais aussi pour les mères. Je trouve qu’on s’impose beaucoup, qu’on est très tyrannique avec ça, qu’on est très perfectionniste et que les enfants nous sucent la moelle« , a-t-elle livré toujours aussi directe.
Karin Viard, une femme libre et épanouie
Ses filles étant désormais adultes, Karin Viard a retrouvé une certaine quiétude dans sa vie personnelle, comme elle l’a révélé : « Quand ils [les enfants, NDLR] sont grands et qu’on n’est plus dans un lien d’inquiétude, je trouve qu’on retrouve quelque chose de sa liberté, de son désir et de son énergie. » Celle qui s’est séparée du père de ses filles, Laurent Machuel, en 2017, n’a jamais semblé plus heureuse. Elle est en couple depuis 2019, avec Manuel Herrero, un réalisateur et producteur de films documentaires de sport. Les amoureux se sont même mariés en 2022. Quant à son âge, Karin Viard a expliqué : « Moi à mon âge, je suis beaucoup plus heureuse que je ne l’aie jamais été. Et physiquement aussi. Je me connais mieux, je suis plus libre, je fais du sport, je suis contente. » Et de conclure dans un sourire resplendissant : « Je me sens bien. » Une chose est certaine, ça se voit !
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : Capture d’écran TF1
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PHOTOS – Karin Viard : qui sont les hommes qui ont marqué sa vie ?
Il a été le premier réalisateur de cinéma à lui avoir fait confiance. En 1989, Étienne Chatiliez a confié le premier rôle cinématographique de sa carrière à Karin Viard, dans le film « Tatie Danielle ». Elle y occupait le rôle d’une esthéticienne.
S’ils n’ont pas eu la chance de re-collaborer ensemble l’un et l’autre, le réalisateur a gardé un très bon souvenir de son expérience avec Karin Viard, déclarant à son propos au Figaro : « Il y a de la vie chez Karin ! C’est quelqu’un de sain, d’abordable, elle nous raconte un peu tous ».
En 1992, c’est au tour de Cédric Klapisch d’inviter Karin Viard dans son cinéma. En compagnie d’autres acteurs comme Fabrice Luchini et Jean-Pierre Daroussin, l’actrice a joué dans le film « Riens du tout », centré sur un grand magasin au bord de la faillite.
Par la suite, le réalisateur a tourné à nouveau deux fois avec l’actrice, pour les films « Paris » en 2008 et « Ma part du gâteau » en 2011. Au Figaro, il a dit de Karin Viard « qu’elle fait partie de ces acteurs comme Fabrice Luchini qui sont à la fois intelligents et sensibles ».
Mais c’est avec le film de Philippe Harel, où Karin Viard a tenu l’un des premiers rôles, qu’elle s’est fait enfin remarquer par le grand public. « Les randonneurs » a été une des comédies à succès de l’année 1997, avec plus d’un million et demi de spectateurs dans les salles.
Le film a contribué au succès de l’actrice, mais aussi à celui de Benoît Poelvoorde, Vincent Elbaz ou encore Géraldine Pailhas. Les acteurs se sont d’ailleurs tous retrouvés une dizaine d’année plus tard pour la suite « Les randonneurs à Saint-Tropez ».
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