Alors qu’elle vient de commencer "Affaire conclue", la compagne de Kad Merad ne pouvait plus cacher sa blessure…

Présentatrice d’Affaire concluedepuis le 28 août, remplaçant Sophie Davant partie sur Europe 1, Julia Vignali a bien commencé la rentrée. Les audiences sont en hausse et la femme de Kad Merad est aux anges. Mais une ombre vient ternir le bonheur de la chroniqueuse de 48 ans. Un traumatisme qui la hante, et qu’elle porte sur elle. En voyant le tatouage inscrit sur son bras, les téléspectateurs pensent à une coquetterie, une fantaisie, mais à côté du cerisier en fleur, il y a trois centimètres de cicatrice qui ne trompent pas. La belle a beau paraître radieuse, elle est blessée à jamais.

« Je me suis renversé mon chocolat chaud sur le pyjama. En acrylique, il a littéralement fondu. Marquée à vie. Et, pour couronner le tout, c’est le matin de la fête des Mères », avait-elle raconté à Paris Match en 2017. « Les services d’urgence ayant mal évalué les dégâts, on a un peu traîné à la maison. Il est trop tard pour une greffe. C’est parti pour des années à l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul de Paris, au service des grands brûlés, deux fois par semaine. Alors que mes copines ont danse ou piano, moi, j’ai hosto ! »

Julia se souvient de cet épisode survenu en 1980 comme si c’était hier. Brûlée au troisième degré, elle souffre dans sa chair, dans son âme de petite fille. « Un jour, on décide de m’opérer sinon mon bras ne grandira plus. Il vaut mieux un bras moche avec une cicatrice qu’un petit bras qui aurait fini sa croissance trop tôt. » De là l’idée du tatouage, des années après, pour cacher l’indicible. Le résultat est « bien plus joli qu’avant« , lui dit son fils Luigi, alors âgé de 5 ans. « Grâce à lui, tout s’envole, la douleur et les regrets. J’ai recouvré trente-cinq ans de ma vie, je ne les ai pas effacés. »

ELSA CHEMOR

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