Depuis 2010, Karine Le Marchand est aux manettes de l’émission »L’Amour est dans le pré » sur M6. Si l’animatrice est ravie d’enchaîner les records d’audience depuis treize ans, elle n’est pour autant pas prête à devenir la »madame agriculture » du groupe M6 !
Karine Le Marchand en aurait-elle marre d’être cantonnée à son rôle de “marieuse” de L’Amour est dans le pré ? En 2010, l’animatrice star du groupe M6 a pris la suite de Véronique Mounier et d’Alessandra Sublet à la présentation du divertissement à l’eau de rose de la chaîne. Alors que l’émission faisait son grand retour ce lundi 7 août 2023 avec une spéciale Que sont-ils devenus ? qui a cartonné en audience en fédérant 3,1 millions de téléspectateurs et plus de 28% des ménagères, Karine Le Marchand semble montrer quelques signes de lassitude à l’approche du lancement de la 18e saison…
En effet, alors que les fidèles téléspectateurs de L’Amour est dans le pré pourront retrouver le coup d’envoi de la dix-huitième saison le lundi 21 août 2023 à partir de 21h10, Karine Le Marchand semble de plus en plus lassée d’être confinée au rôle de »madame agriculture » de M6. Dans une interview qu’elle a accordée à Télé 7 Jours, cette semaine du 7 août 2023, l’animatrice, que l’on retrouvera également cet automne dans une nouvelle saison de La France a un incroyable talent,a révélé avoir refusé d’animer une nouvelle émission dédiée à l’agriculture.
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Karine Le Marchand a eu le nez creux
»On m’avait proposé Aidons nos fermes, mais j’ai refusé. Je ne veux pas être uniquement madame agriculture », s’est agacée Karine Le Marchand auprès de nos confrères. L’animatrice de 54 ans semble avoir visé juste, puisque l’émission, finalement confiée à Marie Portolano –que l’on retrouvera finalement sur France 2 à la rentrée aux commandes de Télématin–, a réalisé une sévère contre-performance d’audience, en réunissant moins de 980.000 téléspectateurs en prime, soit l’un des pires scores d’audience de l’histoire de M6. Dans Aidons nos fermes, Marie Portolano et Patrice Cougoureux portaient secours aux jeunes agriculteurs confrontés à de lourdes difficultés financières et qui, pour s’en sortir, n’avaient d’autre choix que de se diversifier.
C.G.
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