Pour la cinquième fois, Vaimalama Chaves revient se frotter aux épreuves du jeu télévisé Fort Boyard diffusé ce samedi 29 juillet sur France 2. Pour cette occasion, l’ancienne Miss France 2019 est revenue sur cette expérience pas comme les autres.
Vaimalama Chaves est prête à tout pour gagner les clés du Père Fouras ! Ce samedi 29 juillet, l’ancienne Miss France 2019 va participer pour la cinquième fois au jeu télévisé Fort Boyard, diffusé sur France 2. Toujours prête à vaincre ses peurs et à repousser ses limites, la chanteuse de 28 ans va donner son maximum pour porter les couleurs de l’association SOS PREMA qui accompagne les parents d’enfant prématuré. Membre de l’équipe de la judoka Clarisse Agbegnenou, Vaimalama Chaves a accepté de revenir sur cette nouvelle participation auprès de Gala.fr. Rencontre.
Gala.fr : Vous êtes une grande habituée de Fort Boyard, comment appréhendiez-vous cette nouvelle participation ?
Vaimalama Chaves : Avec Fort Boyard, ça commence à être une longue histoire. J’en suis à ma cinquième participation ! Et comme chaque année, j’appréhendais les bêtes (elle rit) ! Ce n’est jamais super agréable de mettre sa tête sous des mouches ou des cafards. Cette fois-ci, j’ai eu la chance de ne pas avoir de bêtes. Ça change tout ! Ça fait trop plaisir. Ça donne envie d’y retourner et de vivre des expériences à Fort Boyard.
Gala.fr : Qu’est-ce que vous donne l’envie de participer chaque été ?
Vaimalama Chaves : J’ai dit à la production que si elle souhaitait que je revienne à Fort Boyard, elle devait prendre mon mec (Nicolas Fleury, ndlr). Résultat ? Il y a participé cette année. Du coup, je n’avais pas d’autre choix que d’y aller (elle rit). C’est super agréable de le faire avec son partenaire. On n’a pas envie d’échouer devant la personne qu’on aime. Il a été là pour m’encourager. C’était chouette de partager ce moment avec lui. J’y suis également retournée pour dépasser mes propres limites. Et puis gagner de l’argent pour une association est vraiment une noble cause.
Gala.fr : Avez-vous une petite anecdote sur le tournage ?
Vaimalama Chaves : On a participé à deux épreuves en couple, dont une qui était vraiment très drôle. Je devais guider Nicolas qui portrait des lunettes et qui devait éviter des lasers. Sauf que je suis très nulle pour guider (elle rit). Du coup, à chaque fois qu’il touchait un laser, il se faisait électrocuter. C’était difficile pour lui de faire un mètre dans la cellule sans en toucher un. C’était drôle car en plus j’étais énervée contre lui (elle rit).
« Dans Fort Boyard, on a toujours envie de se dépasser »
Gala.fr : Y a-t-il une épreuve que vous redoutiez plus qu’une autre ?
Vaimalama Chaves : Il n’y avait pas une épreuve que je redoutais plus qu’une autre. Ça se passe souvent bien dans Fort Boyard et on a toujours envie de se dépasser.
Gala.fr : Quel est votre meilleur / pire souvenir :
Vaimalama Chaves : Mon pire souvenir est Willy. Il a une place particulière dans le cœur des participants de Fort Boyard. C’est dégoûtant de manger ce qu’il nous a préparé. Que ce soit l’odeur ou la texture, il n’y a vraiment rien qui va. J’avais dû manger un gâteau avec plein d’insectes à l’intérieur. C’était vraiment très particulier. En fait, on n’a pas encore mangé le truc qu’on a déjà envie de vomir (elle rit). Et le meilleur souvenir, vous le découvrirez dans l’épisode de ce samedi.
Gala.fr : Qu’avez-vous appris sur vous en participant au programme ?
Vaimalama Chaves : Participer à Fort Boyard est vraiment un don de soi. Cela permet de partager et de créer des souvenirs.
Gala.fr : Si on vous propose de retenter l’expérience l’année prochaine, serez-vous partante ?
Vaimalama Chaves : Cinq fois, c’est déjà pas mal. Mais bon, on ne sait jamais. Peut-être… Je ne sais pas trop. Il faudrait voir les membres de mon équipe. D’ailleurs, j’aimerai bien un jour composer ma propre équipe.
Gala.fr : Qui serait dans votre équipe ?
Vaimalama Chaves : Je prendrai que des copains sportifs comme ça, on gagnerait tout ! Je reprendrai mon mec Nicolas car il a vraiment été fort. J’aime beaucoup Guillaume Pley, l’animateur sur NRJ. Ensuite, je demanderai à Sacha Judaszko, un comédien et auteur de talent. Il faut une fille ! J’appellerai bien Maxine de Koh-Lanta. Comme elle a participé à ce jeu, elle doit faire preuve d’opiniâtreté donc elle devrait tout déchirer.
Gala.fr : Vous avez participé à Fort Boyard, à Danse avec les Stars, à quelle autre émission souhaiteriez-vous participer ?
Vaimalama Chaves : Une émission de décoration pour refaire toute ma maison. Ou bien, un jeu où on gagne une maison (elle rit).
Gala.fr : C’est surtout votre sacre à Miss France 2019 qui vous a fait connaître du grand public. Quels souvenirs gardez-vous de votre année de règne ?
Vaimalama Chaves : Toutes les rencontres que j’ai pu faire. Je n’aurais pas pu faire grand-chose sans toutes les personnes qui étaient avec moi. J’ai vécu de très beaux moments de partage et de sourire.
« Nicolas me motive à faire des projets »
Gala.fr : Depuis votre année de Miss France, vous aviez souvent été victime de grossophobie. Que répondez-vous à toutes ces personnes ?
Vaimalama Chaves : On constate que c’est la projection de leurs propres craintes. Ce sont des personnes qui réfutent cette caractéristique. Le problème ne vient pas de la personne qui est harcelée mais vraiment du harceleur. Il va chercher à expier sa faiblesse en le rejetant sur la personne qu’il voit. La solution serait d’apprendre la tolérance et l’amour propre à chacun. Cela est valable dans plein de domaines : la différence culturelle, l’environnement social. Chacun a vécu ses propres expériences. Ce sont des choses qui marquent, c’est vraiment difficile. Cependant, il ne faut pas vivre avec ce fardeau sur les épaules. C’est arrivé et ça n’enlèvera jamais la peine qu’on a subi, mais la solution est d’envoyer tout bouler et d’avancer. C’est ma solution.
Gala.fr : Dans une interview, vous aviez récemment déclaré vous trouvez « belle », quel a été le déclic qui vous a permis de prendre confiance en vous ?
Vaimalama Chaves : j’ai appris à me regarder dans le miroir et a apprécié ce que je voyais. J’avoue, ce n’est pas toujours évident car je ne pensais pas ça du tout de moi. À force de se regarder, on finit par voir des choses qui nous plaisent. On continue à s’apprécier et on se valorise plus. On finit par faire des choses qui nous mettent en valeur. On comprend qu’on peut toujours améliorer ce que l’on voit.
Gala.fr : Depuis quelque temps, vous avez adopté un carré court. Ce changement est-il le symbole de cette prise de conscience et de votre métamorphose ?
Vaimalama Chaves : Je pense qu’on peut le voir comme ça. Il y a aussi une histoire assez drôle derrière ma nouvelle coupe. Lorsque je me suis préparée pour le concours de Miss Tahiti, on m’a offert un soin pour les cheveux. C’était un lissage brésilien. Une fois que je l’ai fait, je ne pouvais plus m’en passer. Les cheveux étaient raides mais ma repousse était bouclée. C’est là que j’ai su que j’avais les cheveux bouclés. Du coup, pour garder des cheveux sains, en bonne santé et naturel, j’ai voulu tout couper. Et voilà le résultat (elle rit) !
Gala.fr : Depuis 2020, vous êtes en couple avec l’athlète Nicolas Fleury, le coup de foudre a été immédiat lors de votre première rencontre ?
Vaimalama Chaves : Pas du tout ! Ni un coup de foudre, ni une évidence. Quand on s’est rencontré, il m’a beaucoup plus. Je le trouvais très charmant. Il portait le costume de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers (ENSAM). Il était venu me chercher pour que j’assiste à l’un de ses galas de charité. Il devait s’occuper des invités dont de moi. On a gardé contact et on s’est revu quelques mois plus tard, vers la fin de mon règne de Miss France. C’est là qu’on a commencé à se fréquenter. Il me motive à faire des projets. C’est quelqu’un qui bouge beaucoup alors qu’en Polynésie, on est beaucoup plus chill. Il me pousse à avoir des projets. C’est vraiment quelque chose qui me fait vibrer et qui m’aide à ne pas rester bloquée.
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Gala.fr : Les gens vous connaissent comme Miss France, Influenceuse mais aussi comme chanteuse. Après votre premier album sorti en 2020, vous travaillez actuellement sur le second. Pouvez-vous nous en dire un peu plus ?
Vaimalama Chaves : Le premier album a été réalisé lorsque j’étais Miss France. J’avais seulement été interprète, je n’avais pas apporté de texte et de musique. Pour mon nouveau disque, je fais une autobiographie en chansons. Je parle de choses qui me sont arrivées, des leçons que j’ai acquises et des conflits que j’ai pu vivre. La première chanson que j’ai écrite s’appelle “Parents”. Elle parle des conflits qu’on peut avoir en famille. C’est cette histoire qui m’a donné l’envie de raconter et de partager des choses. Dans cette chanson, je raconte comment j’ai pris un chemin qui n’était pas celui que mes parents attendaient de moi. Cela a généré des conflits dans notre relation. J’ai donc dû prendre du recul par rapport à l’environnement dans lequel j’évoluais. J’ai compris ce que je voulais et j’ai pris une décision qui s’imposait. j’aimerai que cet album sorte à l’occasion de mes trente ans, le 3 décembre 2024. Ça me ferait vraiment plaisir.
Gala.fr : Quels sont vos projets ?
Vaimalama Chaves : C’est une idée un peu bizarre qui est vraiment sortie du chapeau (elle rit) ! L’année prochaine, j’aimerais beaucoup participer à une compétition de musculation. C’est pour ça que je n’ai pas été très active professionnellement au cours de cette année 2023. Je me prépare davantage à ce projet sportif et à mon album.
Crédits photos : Laurent VU / ALP / France TV
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