Températures estivales et ciel bleu donnent à la fin du printemps des allures d’été. Les tenues légères sont de mises, laissant la peau bronzer au soleil. Si le bronzage est un symbole de beauté, il est aussi le résultat d’un processus biologique complexe, auquel il est important de se préparer.

Bronzer, ou donner à la peau la couleur du bronze : tel est, pour beaucoup, l’un des principaux objectifs de l’été. La mode datant des années 1920 a fait du teint hâlé un critère de beauté. Pour autant, exposer sa peau au soleil est loin d’être sans danger : les rayons UV représentent une agression contre laquelle l’organisme déclenche un mécanisme de défense. Une bonne protection est donc indispensable. Mais il est aussi possible et même souhaitable de connaître et d’anticiper les effets des rayons du soleil, pour préparer la peau à se cuivrer en toute sécurité.

Certains UV ou rayons ultraviolets ont un impact différent sur la peau

C’est l’été. Le soleil brille et émet de la chaleur, mais pas seulement. Il nous envoie aussi des rayons électromagnétiques, appelés ultraviolets ou UV. Ces derniers se déclinent en 3 catégories : les UVA, les UVB et les UVC. Lorsqu’ils atteignent l’atmosphère de la Terre, certains d’entre eux, en particulier les UVC et une partie des UVB, sont absorbés par la couche d’ozone. Même si la lumière de ce rayonnement reste invisible pour l’œil humain, certains types d’UV, principalement les UVA et une petite partie des UVB, sont peu filtrés. Ils atteignent alors notre peau plus ou moins profondément. Les UVB sont 1000 fois plus puissants que les UVA. Ils pénètrent uniquement l’épiderme, la couche superficielle de la peau, mais provoquent d’importantes lésions. L’inflammation qui en résulte, qu’on appelle communément « coup de soleil », entraîne rougeurs, douleurs et déshydratation. Les UVA, quant à eux, impactent la peau plus en profondeur, touchant le derme et l’épiderme. Ils sont responsables du vieillissement cellulaire et des taches pigmentaires.

Le bronzage, comment ça marche ?

Notre peau dispose pourtant d’un système de défense naturelle contre les UV : la mélanogénèse. Les UV, en particulier les UVB, stimulent les mélanocytes présents dans l’épiderme. À leur tour, les mélanocytes vont augmenter la synthèse de mélanine, un pigment biologique foncé, variant du rouge au noir. La mélanine s’accumule alors jusqu’au derme, donnant à la peau sa couleur dorée ou marron et lui permettant également d’absorber une partie des UV.

Pour obtenir une peau bronzée, l’hydratation est le principal allié

La peau a donc besoin d’être saine pour se protéger du soleil. Composée de 70 % d’eau, la peau nécessite une hydratation régulière et efficace pour maintenir sa bonne santé. Boire de l’eau en quantité suffisante, consommer des aliments qui en contiennent, comme les fruits, les légumes ou les produits laitiers, ou encore appliquer un soin hydratant matin et soir, sont des gestes du quotidien faciles à appliquer. Mais la peau, comme les autres tissus de l’organisme, contient aussi du collagène. Cette protéine assure sa résistance, son élasticité et sa régénérescence. Elle possède aussi une forte capacité à retenir l’eau. Avec le temps, le taux de collagène diminue dans l’organisme. Pour compenser cette perte, le Laboratoire Dynveo propose un collagène naturel végétarien. Naturellement extrait à partir de membrane d’œuf de poule, ce complexe permet de maintenir une bonne hydratation, ainsi qu’une peau jeune, lisse et saine.

La pigmentation, la 2e arme pour protéger la peau des UV

Comme décrit précédemment, la mélanine produite par les mélanocytes donne à la peau son teint hâlé. Mais elle lui sert aussi de barrière naturelle contre les UV. Ce pigment donne également leur couleur aux cheveux et aux yeux. Plus la capacité de l’organisme à synthétiser et à utiliser la mélanine est grande, plus intense sera le bronzage. Bien sûr, il est fortement recommandé de s’exposer progressivement au soleil et de protéger sa peau avec une crème solaire adaptée. Côté alimentation, les fruits et légumes contenant d’importantes quantités de vitamines antioxydantes, dont la vitamine C, sont à consommer sans modération. Ils sont aussi constitués de pigments tels que le bêta-carotène ou le lycopène qui permettent de stimuler la production de mélanine. Une supplémentation en mélanine peut être aussi un allié naturel pour le bronzage.

Une protection contre l’oxydation

Si le soleil active le bronzage, il engendre aussi un vieillissement cellulaire accéléré. Il est donc préférable de limiter les expositions prolongées durant les heures où le rayonnement UV est le plus intense, entre 12 h et 16 h. Les antioxydants sont particulièrement efficaces pour ralentir le vieillissement prématuré de la peau et, par conséquent, l’apparition des rides. Parmi eux, l’extrait de pépins de raisin est riche en oligo-proanthocyanidines, des molécules appartenant à la famille des polyphénols. Ces derniers sont très efficaces pour piéger les radicaux libres, responsables de l’oxydation. La vitamine C, de son nom scientifique acide L-ascorbique, possède, elle aussi, une fonction antioxydante. On retrouve ce micronutriment, essentiel à l’organisme en faible quantité, exclusivement dans notre alimentation. Il participe au bon fonctionnement de plusieurs enzymes, elles-mêmes indispensables à la synthèse du collagène.

3 questions à Mathilde Tournié, Ingénieure R&D chez Dynveo :

  • Quand on pense bronzage, on pense souvent à la mélanine, mais toutes les mélanines se valent-elles et comment faire le bon choix ?

La mélanine n’existe pas dans le règne végétal. Elle est généralement issue des sabots, des plumes ou des écailles des animaux. Sous sa forme naturelle, la mélanine est une macromolécule composée de plusieurs acides aminés et contenant des ponts de disulfures. Notre organisme ne peut donc pas absorber la mélanine native. Il faut la découper en peptides pour permettre une meilleure assimilation. Mais la méthode classique consiste à utiliser des acides pour dissoudre de la laine, entrainant une détérioration du produit. Donc il faut être attentif à la forme, en choisissant des peptides, mais aussi à la méthode de production.

  • Quelle est justement la méthode de production de la mélanine Dynveo ?

Le processus d’extraction breveté de notre mélanine permet d’obtenir un produit bioactif avec une biodisponibilité de 96 %. Il se divise en 3 étapes principales : la première consiste à réduire les ponts disulfures. Ensuite, des enzymes digèrent certaines liaisons entre les acides aminés, pour obtenir des peptides de 400 à 500 daltons. Cette taille permet aux peptides de passer les barrières intestinales. Enfin, la dernière étape permet d’éliminer, par filtration, tous les résidus insolubles et solides contenus dans la laine.

Ce procédé permet de réaliser des hydrolysats de mélanine et de kératine, dont l’efficacité est soutenue par 14 études cliniques. Le processus de fabrication est réalisé selon les exigences qualité de la norme ISO 9001. De plus, notre mélanine est également conforme aux certifications casher et halal et provient de laine de moutons noirs du Puy-en-Velay. Ces animaux sont élevés exclusivement pour leur laine, ils ne partent pas à l’abattage. La laine est une matière qualitative et 100 % française, contrairement aux autres sources de mélanine évoquées précédemment.

  • Est-ce qu’il existe des preuves de l’efficacité de la mélanine, notamment sur le bronzage ?

La supplémentation en mélanine permet et de préparer efficacement la peau à l’exposition solaire. En effet, lors des premières expositions au soleil, la mélanine est présente en faible concentration dans les cellules de la peau. Une supplémentation permet alors d’augmenter progressivement le taux de cette molécule dans les couches superficielles de la peau. Des études cliniques soutiennent l’efficacité de notre mélanine : la supplémentation à une dose de 700 mg, pendant 30 jours, permet d’augmenter l’intensité du bronzage de 249 % et de doubler le taux de mélanine dans l’épiderme. Enfin, pour une peau hydratée et bronzée, nous vous recommandons de l’associer avec la prise de gélules de collagène naturel végétarien.

Article sponsorisé par Dynveo

Crédits photos : Armin Rimoldi / Pexels

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