Le fils de Céline Dion mène un train de vie dispendieux. De quoi inquiéter la chanteuse déjà affaiblie par la maladie.
En sortant un disque de hip-hop en 2021, la planète people imaginait que René-Charles allait suivre les pas de sa maman. Mais son incursion dans la chanson n’a pas duré. Depuis quelques mois, le jeune homme de 22 ans semble préférer la passion dévorante pour les casinos qu’avait son papa. Son addiction aux bandits manchots serait telle, qu’elle a fini par inquiéter Céline, déjà fragilisée par sa santé chancelante… Dans l’entourage de la chanteuse, on tire aussi la sonnette d’alarme.
Dernier achat, une Mercedes à 300 000€
Plusieurs sources s’accordent à dire que son fils passe le plus clair de son temps à dilapider son héritage. Son dernier coup de folie ? L’achat cash d’une Mercedes-Benz AMG classe G63 pour la modique somme de… 300 000 € ! Sans compter les soirées qu’il passe accoudé aux tables de poker et de roulette. « Le reste du temps, il se la coule douce sur le canapé et n’a aucun projet professionnel », fulmine un proche de l’interprète de My Heart Will Go On. Le garçon a en effet claqué la porte de la fac du Nevada où il s’était inscrit en 2019. Mais il a choisi de continuer à vivre dans cet État où les casinos fourmillent. Il vient même d’emménager avec Angélique Weckenmann, cette petite amie dont la mauvaise influence suscite de la crainte chez Céline.
Jets privés et tables de jeux
« Elle travaille dans l’hôtel-casino que détiennent ses parents, à Las Vegas. Un lieu que René-Charles fréquente assidûment. Il est aussi très proche de ses beaux-parents très fortunés », poursuit notre source. Pour ne rien arranger, le jeune homme traînerait avec des voyous à la petite semaine du Nevada. Et il aurait la carte de crédit facile quand il s’agit d’arroser tout le monde au bar ou de payer des vols en jet privé.
De quoi donner des cheveux blancs à Céline, qui doit déjà se concentrer sur cette maladie neurologique (le syndrome de la personne raide ou SPR) qui la ronge et l’empêche de remonter sur scène. « Elle ne reçoit aucun soutien de son fils aîné, alors qu’elle en aurait grandement besoin, se désole un proche. Au lieu de ça, elle assiste impuissante au mode de vie discutable de René-Charles. » La double peine en somme.
GARY GARDIE
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