Ce mercredi 31 mai, Marc Gallix, avocat du rugbyman Mohamed Haouas est intervenu sur le plateau de BFMTV par visioconférence. Il a fait part de son ressenti après le procès de son client ce le mardi 30 mai. Pour lui, l’athlète n’aurait pas supporté que sa compagne "trouve un travail" et ait une vie sociale".
Un an de prison ferme pour violences conjugales. Jugé en comparution immédiate pour des faits qui se sont déroulés le vendredi 26 mai, le rugbyman de Montpellier, Mohamed Haouas n’ira toutefois pas en prison grâce à une peine aménageable et sa femme se dit « soulagée » par cette décision. Celle-ci était d’ailleurs présente au procès qui s’est tenu ce mardi 30 mai.
Le pilier du MHR a été interpellé dans le centre-ville de Montpellier vendredi après-midi et a déclaré aux forces de l’ordre avoir surpris sa femme en train de fumer. Agacé par la situation, il l’aurait alors tiré de force du centre commercial dans lequel ils se trouvaient avant de lui donner une gifle et lui faire un croche-pied. Le sportif de 29 ans l’aurait par la suite traînée violemment dans un parking 800 mètres plus loin.
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Mohamed Haouas, jaloux de la vie sociale de sa femme ?
Invité à réagir ce mercredi 31 mai sur le plateau de BFMTV, Marc Gallix, avocat de Mohamed Haouas, a livré son ressenti après le procès de son client. « Ce que j’ai ressenti des débats hier, c’est que mon client n’a pas supporté ou accepté, que sa femme trouve un travail parce que c’est la première fois », a-t-il expliqué par visioconférence.
L’homme de loi ajoute : « Il n’aurait pas supporté non plus qu’elle côtoie des collègues de travail, qu’elle commence à fumer alors qu’elle n’a jamais fumé. Donc moi je dis que c’est de la jalousie tout simplement ». Pour Marc Gallix, l’international du XV de France se serait montré jaloux que sa femme ait une vie sociale que « pour l’instant elle n’avait pas ». « Puisque jusqu’à présent elle s’occupait des enfants, elle les amenait à l’école, donc je pense que c’est la jalousie qui l’a poussé à commettre cet acte », a-t-il suggéré avant de condamner cet acte « qui est totalement répréhensible ». Il a d’ailleurs tenu à assurer, « encore une fois », qu’il ne le « soutenait pas là-dessus ».
R.F
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