Ce mercredi 3 mai 2023, Pierrette Brès était l’invitée du jour de Jordan De Luxe ! Sur son incontournable plateau, la chroniqueuse hippique s’est longuement confiée sur son enfance marquée par la Seconde Guerre Mondiale. Un traumatisme qui a eu de lourdes conséquences sur son corps…
L’heure est aux confidences pour Pierrette Brès. Figure emblématique dans les médias, la principale intéressée a décidé de mettre à l’honneur le milieu hippique via son domaine de prédilection. Une jolie consécration pour celle dont la vie n’a pas toujours été un long fleuve tranquille. La journaliste a vu le jour en 1939. Période où éclate la Seconde Guerre Mondiale ! Comme des milliers de Français, son quotidien va être chamboulé pendant de nombreuses années.
Le traumatisme est tel que son corps le lui fera savoir bien plus tard. « J’ai eu tellement de mal à avoir ma fille, parce que je ne pouvais pas avoir d’enfants à cause de la guerre« , a avoué Pierrette Brès sur le plateau de « Chez Jordan » ce mercredi 3 mai 2023. Marquée au plus profond de son âme, cette dernière a eu du mal à aller de l’avant. « La guerre ça laisse des traumatismes énormes aussi bien mentalement que physiquement. J’ai gardé l’utérus d’une petite fille de cinq ans », a t-elle avoué. « Il ne s’est jamais développé ».
Et de souligner le corps lourd : « Chaque fois que j’attendais un bébé, au bout de deux mois, paf, je faisais un avortement spontané. Je ne pouvais pas le garder, mon corps n’était pas fait pour ça donc il le rejetait ». Fort heureusement, un médecin a fini par comprendre ses tourments. « Un jour j’ai eu la chance de tomber sur un très bon gynécologue qui m’a dit : ‘Pierrette on va faire tous les examens possibles si vous voulez vraiment avoir un enfant’. Donc il m’a fait faire des examens […] il a vu que l’utérus n’était pas du tout développé », a ajouté l’invitée de Jordan De Luxe.
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« J’ai sauté sur l’occasion… »
Au cours de leur échange, Pierrette Brès s’est rendue compte de beaucoup de choses : « Il m’a questionnée et je lui ai raconté l’histoire de la guerre où j’avais été traumatisée par les sirènes et tout ça… Le corps s’est stoppé« . De fil en aiguille, le spécialiste lui propose alors l’ultime opération : « Il m’a dit ‘j’ai une solution, je peux vous opérer, mais je ne garantis rien, et après, il faudra rester un an sans rapports sexuels, le temps que tout cicatrise parfaitement’. Moi, j’ai sauté sur l’occasion ! ».
Un choix au prix de lourds sacrifices qu’elle ne regrette pas le moins du monde… Puisque sa fille Isabelle a pointé le bout de son nez quelques années après l’intervention. « Je me disais que je voulais cette petite fille blonde. Alors, j’avais mis le tableau au-dessus de mon lit et je priais !« , a ainsi conclu Pierrette Brès avec philosophie.
N.B
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