Pas de question sur Desperate Housewives ! C’est la drôle de consigne reçue de l’agent de l’actrice, en la rencontrant au Paris Fan Festival. Pas grave, elle avait plein de trucs à nous dire…
PARIS, 16/04/2023
Public : On ne s’attendait pas à vous voir ici, au Paris Fan Festival !
Teri Hatcher : Oui, mais tout le monde a été fabuleux avec moi ! Je savais que les séries auxquelles j’ai participé étaient très populaires en France. Pourtant, l’accueil des gens m’a surprise. Et j’adore qu’ils partagent avec moi des histoires très touchantes, qu’ils me disent avoir aimé regarder Loïs et Clark ou Desperate Housewives avec un parent aujourd’hui malade ou décédé. Cela me parle : moi aussi, certains shows ou célébrités m’ont inspirée et consolée.
Par exemple ?
Chaque année, à Noël, je construis une ville miniature sur mon piano. Cela me prend huit heures, voire plus. Et j’ai une tradition : pendant ce temps-là, je mets le film Elfe avec Will Ferrell et je le regarde cinq fois… Souvent avec une bouteille de vin ! Si je tombais sur Will, je lui dirais sans doute cet attachement.
Vos fans à vous ont-ils parfois été un peu harceleurs ?
La plupart sont extrêmement respectueux. Au fil des ans, j’ai eu des stalkers, ce qui fait très peur. Les fans intrusifs ne sont pas la composante la plus amusante de mon métier, mais ça en fait partie.
C’est ça d’être une star ?
Oh, je suis une personne normale. Une femme avec un chat, une famille, une fille ! La comédie est un travail, un travail que j’adore. Je suis reconnaissante d’avoir eu des opportunités. Mais la notoriété est un peu extérieure à moi.
Comment avez-vous su que vous vouliez être actrice ?
Je ne l’ai jamais vraiment su. Je suis tombée là-dedans un peu par hasard. Étant très travailleuse et concentrée, j’ai bossé. Mais je n’étais pas de ces jeunes qui rêvent d’être acteurs. Et encore aujourd’hui, je me demande si je ne devrais pas faire autre chose ! Parfois, j’aimerais être une scientifique (comme ses parents, ndlr). Peut-être que ça m’arrivera de prendre un autre chemin !
Dans la série, elle incarnait la fille aînée des Solis, très différente de sa maman. De quoi déchaîner les foules contre celle qui n’était qu’une enfant…
Des passions secrètes que vous pourriez exploiter ?
Il y a quelque chose que j’ai commencé au début du Covid : regarder les oiseaux. Ou, plus précisément, les écouter. À l’époque, je faisais de très longues excursions et au lieu de mettre de la musique, j’écoutais la nature. J’ai même une application sur mon téléphone qui me permet d’identifier les oiseaux.
Peut-être une nouvelle carrière ?
(Rires.) Pas sûr ! Mais c’est très relaxant et j’adore ça…
Maëlle Brun
Madison De La Garza : Desperate Housewives a gâché son enfance
Être une enfant star, beaucoup en rêvent. Mais pour l’interprète de Juanita Solis, la fille du personnage d’Eva Longoria, ce fut le début d’un cauchemar. “Des gens écrivaient qu’il vaudrait mieux que je meure à cause de mon physique”, a confié la demi-sœur de Demi Lovato dans un podcast. “À 7 ou 8 ans, cela m’a valu des troubles mentaux et alimentaires.” Des problèmes que l’actrice espère avoir enfin surmontés, après avoir tant lutté…
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