Alors que sa carrière est finie, qu’il est endetté et qu’il fait face à un procès qui devrait lui valoir de la prison, Pierre Palmade suscite chez certains une forme d’empathie. Un célèbre animateur télé a ainsi donné son point de vue, notamment sur le fait d’emprisonner l’humoriste dépendant à la cocaïne.
Pierre Palmade, l'accident : maison de Cély-en-Bière, Yuksel et Devrim hospitalisés, Hôpital Marie Lannelongue, route D372, … IMAGES de l'affaire
"J'ai tellement peur qu'il se laisse partir, le pauvre garçon. Il vit un drame artistique, moral, financier, les autres ils ont le drame de leur vie", a-t-il commencé. Avant de déclarer : "Pierre Palmade a fait une connerie et va la payer toute sa vie". Et à lui de poursuivre en osant une comparaison choc : "Mais le père va boiter toute sa vie et le fils va avoir la gueule de Ribéry…".
Vincent Lagaf voudrait qu'on arrête de "taper" sur Pierre Palmade
Et si le célèbre présentateur du non moins culte jeu de TF1 Le Bigdil s'est montré ferme envers les agissements de Pierre Palmade, il n'en reste pas moins agacé par le traitement médiatique de l'affaire, un avis partagé par Laurent Ruquier, qui accueillait l'humoriste dans Les Grosses Têtes de RTL. "Pierre, il faut laisser la justice faire et arrêter de taper dessus, ça ne changera plus rien", a-t-il en effet déclaré. Avant de continuer : "Professionnellement, ça va être compliqué pour lui, financièrement, il ne va pas s'en relever". Il est acculé par les dettes – 250 000 euros – à tel point que sa maison de Cély-en-Bière pourrait être saisie par la justice avant même d'être vendue pour le renflouer…
Pierre Palmade acculé par les dettes : 3 mois avant la saisie de sa maison de Cély-en-Bière ?
Les huissiers à ses trousses ! Alors qu'il a déjà la justice sur le dos, Pierre Palmade se retrouve désormais avec ses créanciers devant sa porte. Selon "Closer", l'humoriste pourrait perdre sa maison de Cély-en-Bière, en vente pour une jolie somme afin d'éponger ses dettes…
Et l'animateur recasé sur RMC Découverte de se montrer ferme : "Il est sevré de tout d'un coup, alcool, drogue, clopes, sexe. Je ne prends pas sa défense, mais c'est bon, il paie. Il vit dans une chambre d'hôpital [à Villejuif, au service addictologie, sous contrôle judiciaire, ndlr] car s'il va en prison, il meurt en quinze jours. Pour être jugé, il doit arriver vivant au procès, non?".
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De fait, selon lui, s'il y a quelqu'un à "punir, c'est lui". Mais Vincent Lagaf a déploré que tout le monde ne soit pas logé à la même enseigne. Et à lui de faire une comparaison avec un accident causé par un "citoyen lambda". "Pourquoi on n'en parle pas ? Il y a deux morts… Pour un mec qui récidive. On n'en parle pas", a-t-il terminé.
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