Célébrités

Dans un portrait publié par le Monde, ce jeudi 16 mars, un ami proche d’Emmanuel Macron a partagé quelques rares informations sur le président de la République. Notamment sur sa face cachée…

Ce jeudi 16 mars, le Monde a dévoilé un tout nouveau portrait sur Emmanuel Macron. À défaut de ne pas avoir eu l’occasion de questionner le président de la République, nos confrères ont cependant pu rencontrer Stéphane Layani, « l’ami de l’ombre » du chef d’État. Un entretien au cours duquel le journal a pu obtenir de nouvelles informations, jusqu’alors cachées, au sujet de l’époux de Brigitte Macron.

En effet, d’après les dires de Stéphane Layani, lorsqu’il était encore ministre de l’Économie entre 2014 et 2016 – sous François Hollande – Emmanuel Macron était déjà un « gastronome ambassadeur ». Pour cause, d’après les dires de son ami, le président de la république serait un fervent « amateur de whisky ». Mais ce n’est pas tout. Le chef d’État serait également un très « bon vivant » qui affectionnerait les bons plats.

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Emmanuel Macron cash sur ses plats favoris

En janvier 2020, Emmanuel Macron était de passage sur les ondes d’Europe 1 à l’occasion de la remise des prix d’excellence du concours général agricole. Une entrevue au cours de laquelle le président de la République avait notamment levé le voile sur ses mets favoris. Et s’il y a un plat qu’Emmanuel Macron affectionne, c’est définitivement la blanquette de veau.

« La vraie blanquette, la bonne blanquette j’adore ça, avait-il rapidement concédé au micro de Laurent Mariotte. C’est vrai que j’ai un faible pour la blanquette, je l’avais dit quand j’étais en campagne, c’est mon plat traditionnel français favori. » Pourtant, tout porte à croire que le président n’est pas un public difficile. « J’aime aussi les fruits de mer une fois de temps en temps. Je suis autant viande que poisson« , avait-il ajouté. Et de conclure, catégorique : « Je ne choisis pas, je suis compatible avec tout !« 

Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage

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PHOTOS – Comme Emmanuel Macron et Fabrice Eboué, ces politiques et personnalités se sont connus à l’école

Tout les oppose aujourd’hui ! Et pourtant, s’ils n’ont pas suivi la même trajectoire, Emmanuel Macron et Fabrice Eboué sont passés par le même établissement à Amiens. Nés en 1977, ils ont fréquenté le lycée La Providence.

L’anecdote est devenue un sujet de blague récurrent pour l’humoriste. « Il avait un an d’avance et j’avais un an de retard, c’est pour ça qu’il y en a un qui a fini président et l’autre comique« , s’amusait-il dans On est en direct en 2021. L’ex-membre du Jamel Comedy Club, resté seulement cinq mois dans cet établissement catholique privé, recroisera Emmanuel Macron lors d’une réception à l’Elysée. L’occasion de comprendre que le chef de l’Etat n’a aucun souvenir de lui. « Il m’a dit : ‘Rappelez-moi votre nom, déjà ? » Et après, le plus amusant, c’est que je lui dis : ‘Vous savez qu’on a été dans la même école ?’ Il me dit : ‘Ah bon ?’« 

Fabrice Eboué n’est pas la seule personnalité croisée par Emmanuel Macron durant sa scolarité. A Sciences Po, il a notamment eu Ali Baddou comme professeur.

« C’était un très bon élève, s’est rappelé Ali Baddou auprès du Figaro début 2023. Je lui avais mis un 16/20 en dissertation. À l’époque, il se demandait s’il allait choisir l’agrégation de philo ou aller à l’ENA« .

Comme Emmanuel Macron, François Hollande a croisé des futures stars du rire à l’école. Ex-élève du lycée Pasteur à Neuilly-sur-Seine, François Hollande a connu Christian Clavier, Thierry Lhermitte et Gérard Jugnot. « S’il avait été un peu plus âgé, il aurait pu faire partie du Splendid. Il aurait peut-être été plus heureux ?« , s’interrogeait ce dernier dans Le Monde, en 2016.

Sauf qu’à l’époque, François Hollande est plus intéressé par sa mission de délégué de classe que par amuser la galerie. « Ce n’était pas moi [qui faisais rire]. En terminale j’étais en classe avec Clavier, c’était lui qui faisait rire« , s’était souvenu l’ex-président sur France Inter. Ils consolideront leur amitié à Sciences Po, avant que le comédien, trop peu porté sur les cours, ne quitte l’établissement.

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