Ce mercredi 1er mars, César Lewandowski a fait ses premiers pas dans le concours Top Chef. Face aux chefs, le candidat s’est livré sur la leucémie dont il a été atteint et qu’il a combattu.

"La cuisine m’a donné du courage et de la force pour me battre tous les jours." Plus qu’aucun autre de ses concurrents, César Lewandowski a en effet dû se battre pour survivre. Il n’avait que huit ans lorsque sa vie a été chamboulée. C’est ce qu’il a raconté à Paul Pairet, Glenn Viel et Philippe Etchebest entre deux préparations. Ce mercredi 1er mars, Stéphane Rotenberg était aux commandes des épreuves qualificatives pour la 14e saison de Top Chef. Les téléspectateurs ont alors pu faire connaissance avec 15 candidats – la 16e, la vainqueure d’Objectif Top Chef ne fera son entrée dans la compétition que la semaine prochaine, mercredi 8 mars. Parmi ces cuisiniers plein de talents, un certainCésar Lewandowski n’est pas passé inaperçu. Outre ses créations culinaires et son joli minois, c’est son histoire qui a retenu l’attention. Alors que le chef de 26 ans expliquait aux chefs la recette autour de la pomme qu’il avait en tête, il leur a raconté la genèse de son histoire d’amour pour la cuisine.

"J’ai commencé la cuisine avec mon beau-père. Ç’a été un peu le lien entre lui et moi, notre façon de communiquer", a-t-il débuté. Et de renchérir : "J’étais un peu renfermé, j’ai eu une maladie grave et c’est vraiment ce qui a fait notre lien et l’envie de cuisiner ensemble." Une confidence qui a intrigué Philippe Etchebest qui a souhaité en savoir davantage. "J’ai eu une leucémie à l’âge de huit ans", lui a alors révélé César Lewandowski. Une maladie qui a bouleversé son existence. D’autant plus que les médecins ne donnaient pas cher de sa peau. "On m’a donné trois mois à vivre à ce moment-là", s’est-il souvenu. Même si sa "vie s’est arrêtée", l’enfant n’a jamais baissé les bras et s’est battu comme jamais pour survivre à cette épreuve. Et pour cela, il a pu compter sur le soutien indéfectible de ses proches mais aussi sur cette passion naissante pour la cuisine. "Ma maman était un peu déboussolée", a-t-il confié avec tendresse. Et de s’enthousiasmer : "Mon beau-père était là pour nous soutenir tous les deux."

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