Ce dimanche 26 février, Lambert Wilson, à l’affiche du film “Les Choses simples” sera sur les ondes de RFM. Au micro de Bernard Montiel, l’acteur a évoqué, sans ménagement, les nouvelles recrues du septième art. Gala.fr vous fait découvrir en exclusivité un extrait de cet entretien.

Quand les arts se mêlent, c’est la symbiose pour Lambert Wilson. Dans un entretien accordé à RFM, diffusé ce dimanche 26 février et dont Gala vous dévoile en amont un extrait, l’acteur, qui n’hésite pas à pousser la chansonnette, a trouvé quelques défauts à la nouvelle génération de comédiens, regrettant que le travail de ceux-ci ne se calque pas davantage sur celui des musiciens : “J’ai l’impression que la musique, c’est plus exigeant. Chez les musiciens, il n’y a pas l’amateurisme qu’il y a dans mon métier.” Et de préciser sa pensée : “En ce moment même, je fais un film avec des jeunes acteurs, je ne dirai pas leurs noms, mais ils apprennent à peine leur texte. Ils sont là, en train d’avoir des exigences personnelles…

Pour le comédien actuellement à l’affiche du film Les Choses simples d’Éric Besnard, aux côtés de Grégory Gadebois et de Marie Gillain, ses jeunes confrères auraient ainsi beaucoup à apprendre du quatrième art et de la rigueur qui lui est attachée : “Si vous vous compariez aux musiciens, vous acquériez un peu d’humilité et de sens du travail, de l’excellence.” Il faut dire que Lambert Wilson prêche un convaincu : “Ça fait quarante ans que je chante. […] J’adore chanter. Ce que je préfère au monde, c’est faire de la musique, être avec les musiciens”, a-t-il confié à Bernard Montiel.

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“Mon enfance a été bercée par la musique”

Le plus chanteur des acteurs était, vendredi 24 février, en Suisse pour interpréter sur scène les chansons du compositeur allemand Kurt Weill. Dans un entretien accordé à COTE Magazine en amont de ce concert, Lambert Wilson est revenu sur l’origine de son goût prononcé pour la musique : “Mon enfance a été bercée par la musique. Des mélodies fortes, entraînantes, qui résonnaient en moi. J’ai toujours été séduit par la mélodie. Elle m’accompagne du matin au soir.” Et d’ajouter : “Ce goût de la musique m’a été transmis par mon père, qui était directeur du Théâtre national populaire. […] Saxophoniste et comédien, il nous a initiés, mon frère et moi, au saxophone. Je me rappelle que nous invitions tous les lundis des musiciens à la maison, un groupe de jazz des 50’s.” Alors, acteur, chanteur ou les deux à la fois, pourquoi coller des étiquettes ?

L’interview intégrale de Lambert Wilson par Bernard Montiel est à écouter ce dimanche 26 février, dans 1h avec…, sur RFM, dès 12 h.

Article écrit en collaboration avec 6Medias

Crédits photos : Capture d’écran RFM

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En 1961, alors que Catherine Deneuve enchaîne les petits rôles, Jacques Demy la choisit pour jouer dans Les Parapluies de Cherbourg, qui ne sera réalisé que deux ans plus tard. Récompensé par la Palme d’or à Cannes, le film lance la carrière de Catherine Deneuve, et marque le début de sa collaboration avec Jacques Demy.

Alors qu’il avait décidé de faire carrière au cinéma, le jeune Michel Fugain se lance dans la chanson en composant quelques titres pour ses amis, dont Michel Sardou. Il commence à enregistrer quelques titres et à faire quelques premières parties de concerts. Mais c’est en alliant ses deux passions qu’il deviendra populaire : il chante et joue grâce à sa troupe, le Big Bazar fondée en 1971. Sa chanson phare Une belle histoire, est tirée du spectacle de la troupe.

La jeune Claire Keim a toujours eu deux talents : le chant et la comédie. C’est sur la scène qu’elle fait ses premières armes, dans la comédie musicale « Paul et Virginie », mise en scène par Jean-Jacques Debout en 1992. Elle y jour le rôle principal alors qu’elle n’a que 17 ans.

Après quelques essais au théâtre, Daniel Auteuil, apprenti comédien, se lance dans la comédie musicale. En 1972 il est casté dans le spectacle américain Godspell, dans lequel il jouera aux côtés de Dave, qui fait également ses débuts.

Après avoir été rejeté de plusieurs castings de comédies musicales à succès, Emmanuel Moire est enfin choisi pour un premier rôle en 2004 : Dove Attia, Albert Cohen et Kamel Ouali le choisissent pour incarner Louis XIV dans Le Roi Soleil. Il interprètera ce personnage pendant trois ans sur scène.

Ludivine Sagnier a commencé le cinéma à l’âge de 9 ans, enchaînant les petits rôles. Alors qu’elle commence à incarner des personnages secondaires, François Ozon lui confie le personnage qui va bouleverser sa vie : en 2002, elle joue la benjamine du casting de Huit Femmes, un film musical, genre devenu rare en France. Elle remporte plusieurs trophées pour ce rôle qui aura vraiment lancé sa carrière.

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